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Les Sodas : La Douce Menace qui Empoisonne Votre Santé

Publié le 24 juillet 2024 par Guy Deridet

Lorsque je suis dans un café, je vois toujours beaucoup de personnes, adultes et enfants, consommer avec un plaisir non dissimulé des sodas, c'est-à-dire des boissons gazeuses et généralement très sucrées. À l'évidence, ils ignorent que ce faisant, ils mettent leur vie en danger.



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J'ai trouvé un article du site auféminin (je ratisse large) qui traite, très bien de ce sujet.

Je l'ai lu puis j'ai demandé son avis à mon intelligence articielle préférée, j'ai nommé Claude Sonnet 3.5, qui m'a donné beaucoup de renseignements complémentaires.

Après lui avoir posé plusieurs questions subsidiaires je lui ai demandé de me rédiger un article à partir de l'article au féminin et de ses remarques.  Que voici :

Dans un monde où la consommation de boissons sucrées est devenue banale, peu de gens réalisent l'ampleur des dangers qui se cachent derrière ces breuvages pétillants et alléchants.

Cet article lève le voile sur les risques méconnus associés à la consommation régulière de sodas, révélant comment ces boissons en apparence inoffensives peuvent avoir des conséquences dévastatrices sur notre santé.
 

## Le cancer colorectal : un risque insoupçonné
 
La consommation excessive de sodas est désormais liée à un risque accru de cancer colorectal, particulièrement chez les jeunes adultes. Une étude publiée dans le journal Gut a mis en lumière cette corrélation alarmante, soulignant l'importance de reconsidérer nos habitudes de consommation.
 

**Un doublement du risque chez les femmes**
 
Les résultats de l'étude sont saisissants : les femmes qui consomment deux boissons sucrées ou plus par jour voient leur risque de développer un cancer colorectal avant 50 ans plus que doubler, comparativement à celles qui en consomment moins d'une par semaine. Cette augmentation significative du risque souligne l'importance de modérer sa consommation de sodas, même à un jeune âge.
 

**L'impact cumulatif de la consommation quotidienne**
 
Chaque portion quotidienne supplémentaire de soda n'est pas sans conséquence. L'étude révèle une augmentation de 16 % du risque de cancer colorectal pour chaque boisson sucrée additionnelle consommée quotidiennement. Ce constat met en évidence l'effet cumulatif de la consommation régulière de sodas sur la santé à long terme.
 

**Les adolescents particulièrement vulnérables**
 
L'étude souligne également que la consommation de boissons sucrées pendant l'adolescence (de 13 à 18 ans) est associée à un risque 32 % plus élevé de développer un cancer colorectal précoce à l'âge adulte. Cette découverte est particulièrement préoccupante, car elle suggère que les habitudes alimentaires adoptées durant l'adolescence peuvent avoir des répercussions durables sur la santé.

N.D.L.R : Ce qui est dramatique, c'est que les parents et les mères en particulier pensent rendre service à leur enfant en leur faisant régulièrement consommer des sodas. Il faut dire aussi qu'il est parfois difficile de résister aux souhaits des enfants eux-mêmes, qui sont très friands de ces saletés.
 
## La NASH : la « maladie du soda» qui menace votre foie
 
Au-delà du risque de cancer colorectal, la consommation excessive de sodas est également liée à une autre affection grave : la stéatohépatite non alcoolique (NASH), surnommée la « maladie du soda». N.D.L.R : ou la cirrhose du soda. Cette pathologie, qui touche le foie, est en augmentation constante et représente un véritable enjeu de santé publique.
 
**Une prévalence alarmante**
 
La NASH affecte aujourd'hui environ 12 % de la population française, soit de 6 à 8 millions de personnes. Cette prévalence élevée est étroitement liée à l'épidémie d'obésité et de diabète, deux conditions favorisées par la consommation excessive de sucre, notamment sous forme de boissons sucrées.
 
**Le soda : un facteur de risque majeur**
 
Une étude menée par l'Inserm a démontré qu'une seule canette de soda par jour (33 cl) suffit à augmenter significativement le risque de développer une NASH. Les sodas, riches en sucres rapidement absorbés, facilitent l'accumulation de graisse dans le foie, contribuant ainsi au développement de la maladie.
 
**Une maladie silencieuse aux conséquences graves**
 
La NASH est d'autant plus dangereuse qu'elle reste souvent asymptomatique jusqu'à un stade avancé. Elle peut entraîner des complications graves, telles que la cirrhose ou le cancer du foie, si elle n'est pas prise en charge à temps. Le diagnostic repose sur des examens sanguins, l'imagerie et parfois une biopsie du foie.
 

## Les mécanismes biologiques en jeu
 
La consommation régulière de sodas et autres boissons sucrées peut affecter l'organisme de multiples façons, expliquant en partie leur impact néfaste sur la santé.
 

**Inflammation et résistance à l'insuline**
 
Les sodas, riches en sucres raffinés, peuvent provoquer une inflammation chronique dans l'organisme et perturber la réponse à l'insuline. Ces mécanismes sont impliqués dans le développement de nombreuses maladies chroniques, dont le cancer colorectal et la NASH.
 

**Perturbation du microbiote intestinal**
 
La consommation excessive de sucre peut également altérer l'équilibre du microbiote intestinal, jouant un rôle crucial dans la santé digestive et immunitaire. Cette perturbation pourrait contribuer à l'augmentation du risque de cancer colorectal et d'autres troubles digestifs.
 

**Stress oxydatif**
 
Les sodas, souvent riches en additifs et en sucres raffinés, peuvent augmenter le stress oxydatif dans l'organisme. Ce phénomène est associé à un vieillissement cellulaire accéléré et à un risque accru de développer diverses maladies chroniques.
 

## Prévention et alternatives
 
Face à ces risques, il est crucial d'adopter des stratégies de prévention efficaces et de trouver des alternatives saines aux sodas.
 
**Réduire la consommation de boissons sucrées**
 
La première étape consiste à réduire radicalement, voire à éliminer, la consommation de sodas et autres boissons sucrées. Cette simple mesure peut avoir un impact significatif sur la réduction du risque de cancer colorectal et de NASH.
 

**Privilégier les alternatives saines**
 
Remplacer les sodas par des alternatives plus saines peut considérablement réduire les risques pour la santé. L'eau, le thé non sucré, les infusions ou encore les eaux aromatisées naturellement sont d'excellentes options. Pour ceux qui apprécient les boissons gazeuses, l'eau pétillante nature ou légèrement aromatisée peut être une bonne alternative.
 
**Adopter une alimentation équilibrée**
 
Une alimentation riche en fruits, légumes, poissons, noix et légumineuses, tout en limitant la consommation de viande rouge et transformée, peut contribuer à réduire le risque de cancer colorectal et de NASH. Il est également important de privilégier les aliments à faible indice glycémique pour maintenir une glycémie stable.
 
**Pratiquer une activité physique régulière**
 
L'exercice physique régulier joue un rôle crucial dans la prévention de nombreuses maladies, y compris le cancer colorectal et la NASH. Il aide à maintenir un poids santé, améliore la sensibilité à l'insuline et réduit l'inflammation chronique.
 

## Conclusion : repenser notre relation avec les sodas
 
Les dangers méconnus des sodas, mis en lumière par les récentes études scientifiques, nous obligent à reconsidérer notre relation avec ces boissons. Loin d'être de simples rafraîchissements inoffensifs, les sodas représentent une menace sérieuse pour notre santé, augmentant le risque de maladies graves comme le cancer colorectal et la NASH.
 
Il est temps de prendre conscience de l'impact de nos choix alimentaires quotidiens sur notre santé à long terme. En réduisant notre consommation de sodas et en adoptant des habitudes de vie plus saines, nous pouvons significativement améliorer notre santé et réduire le risque de développer ces maladies graves.
 
La prise de conscience collective et l'éducation du public sur les dangers des sodas sont essentielles. Les autorités de santé, les écoles et les médias ont un rôle crucial à jouer dans la diffusion de ces informations et la promotion d'alternatives plus saines.
 
En fin de compte, chaque gorgée de soda est un choix. Un choix anodin sur le moment, mais qui, répété jour après jour, peut avoir des conséquences dramatiques sur notre santé. En faisant des choix éclairés et en privilégiant notre bien-être à long terme, nous pouvons non seulement préserver notre santé, mais encore influencer positivement celle de nos proches et des générations futures.
 
Repensons notre consommation de sodas, non pas comme une privation, mais comme une opportunité de redécouvrir des saveurs naturelles et de prendre soin de notre corps. Finalement, notre santé est notre bien le plus précieux, et elle mérite toute notre attention et notre protection.

N.D.L.R

Personnellement, à bientôt 78 ans, depuis toujours, je ne bois pratiquement jamais de sodas.

Surtout depuis qu'il y a de nombreuses années, j'ai vu sur YouTube que l'on pouvait utiliser du Coca-Cola pour nettoyer très efficacement les toilettes. J'ai immédiatement pensé à l'effet que cette mixture pouvait avoir sur mes organes intérieurs et j'ai pris la décision de ne jamais plus consommer de sodas. Je n'ai pas eu de problème pour respecter cette décision puisque naturellement, j'ai la chance de ne pas aimer le sucre.

De fait, je préférais les aliments salés aux aliments sucrés. Mais là encore, lorsqu'il y a un certain nombre d'années, j'ai appris que la charcuterie est cancérigène, j'ai arrêté totalement la charcuterie. Alors que pendant des décennies mon apéro préféré, c'était du pâté ou du saucisson avec un verre de vin.

De la même façon, lorsqu'il y a 25 ans aujourd'hui, j'ai appris que la cigarette est cancérigène, j'ai complètement arrêté de fumer. Alors que je fumais depuis l'âge de 15 ans et que lorsque j'ai arrêté, j'en étais à trois paquets de Marlboro par jour! 

Tout ceci signifie que pour profiter d'une vieillesse heureuse, sans maladie et en pleine forme, comme c'est mon cas jusqu'à ce jour, il faut d'une part, prendre la peine de s'informer sur les dangers qui nous guettent et il se trouve que depuis ma jeunesse ces dangers n'ont fait que se multiplier, et d'autre part, avoir la volonté de cesser de consommer ce qui nous fait du mal.

Vous me direz que c'est plus facile à dire qu'à faire.

Je vous répondrai qu'en ce qui me concerne, j'ai trouvé la solution ultime, qui a fonctionné chaque fois : j'ai remplacé toutes ces addictions mortifères par une seule, souveraine :  l'addiction à l'exercice physique. 

À ce sujet, j'ai écrit sur ce site un article  (lu 17140 fois) il y a 22 ans, sur la façon dont je suis arrivé à vaincre mon addiction au tabac.  j'ai ensuite appliqué le même principe à toutes mes autres mauvaises habitudes et chaque fois, cela a marché.

C'est même devenu chez moi un véritable mode de vie qui me convient tellement que je n'envisage même pas de retomber dans mes vieilles addictions, car je perdrai alors tout ce qui fait la qualité de ma vie depuis 25 ans.

Sans parler de la confiance que cela m'a donnée : à savoir qu'après avoir vaincu toutes ces addictions, je sais maintenant que j'ai acquis la volonté suffisante pour résister à n'importe quelle tentation. Quelle qu'elle soit !

Ce qui me permet en dépit de toutes ces bonnes résolutions de ne pas vivre du tout comme un ermite et de savoir que si je me permets un extra un jour, je saurai ce qu'il faut faire pour que mon organisme l'oublie les jours suivants. Le beurre et l'argent du beurre, je vous dis.

C'est dans cet esprit qu'il y a 7 ans, donc à 70 ans, comme mes excès antérieurs m'avaient doté d'une bonne quantité de gras aux mauvais endroits, j'ai décidé de me lancer dans le jeûne intermittent. Sept ans plus tard, mon métabolisme qui était plutôt sujet à ce qu'on appelle le yoyo, est complètement rétabli désormais. C'est-à-dire que mon poids ne varie plus et demeure invariable, à 71 kg pour 1,80 m.

La « sagesse populaire » nous répète souvent qu'à partir de 50 ans, il est "normal" de prendre un kilo avec chaque année.

En ce qui me concerne, c'est faux.  C'est même le contraire ; je pèse moins à 77 ans que lorsque je me suis marié pour la première fois… il y a 57 ans. 


L'article d'au féminin :

Sources :


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