La cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024, désignée par les organisateurs comme le "plus grand spectacle du XXIe siècle", a été la cible de critiques virulentes de la part de l'extrême droite française. Diversité, inclusion et représentations LGBT+ ont été interprétées par certains comme une manifestation du "wokisme".
Une célébration de la diversité et de l'inclusion
Sous la direction artistique de Thomas Jolly, le spectacle a mis en lumière la diversité française. Des stars internationales comme Aya Nakamura et Lady Gaga ont électrisé le public. La présence de drag queens, d'un mannequin transgenre et de références culturelles variées a mis en avant une France multiculturelle et inclusive.
Des réactions polarisées
Des figures de la droite nationale, à l'instar de Julien Odoul et Marion Maréchal, ont vivement critiqué la cérémonie. Ils l'ont qualifiée de "parodie drag queen de la Cène" et ont dénoncé un "saccage pour la culture française". Ces réactions mettent en évidence une forte division idéologique sur les thèmes de l'inclusion et de la diversité.
Un spectacle somptueux et des hommages historiques
Le long de la Seine, la cérémonie a rendu hommage à des icônes telles que Notre-Dame, Olympe de Gouges et Simone Veil. La soirée a été marquée par des performances musicales variées, dont une collaboration entre le groupe de metal Gojira et la chanteuse lyrique Marina Viotti.
Un final spectaculaire
La cérémonie a atteint son apogée avec l'allumage de la vasque olympique au jardin des Tuileries. Des lasers entouraient la Tour Eiffel, offrant un spectacle visuel époustouflant. Même sous une pluie battante, environ 320 000 spectateurs se sont rassemblés sur place, tandis qu'un milliard de téléspectateurs suivaient l'événement à travers le monde.
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