Je regarde cette montagne qui vieillit en janvier,
et cana je regarde expirer avec la neige
son sommet qui, froid, sombre et bref,
Le soleil la regarde, qui l'a peinte en premier.
Je vois que dans de nombreux endroits, flatteur,
soit il donne sa glace, soit il la boit;
qui, reconnaissant de sa pitié, bouge
le musicien de cristal libre et bavard.
Mais dans les Alpes de ta poitrine en colère,
Je ne vois pas que tes yeux sur les miens
Donnez, étant le feu, la glace que vous aimez.
Ma propre flamme se multiplie par le froid,
et dans mes propres cendres je brûle gelé,
envier le bonheur de ces rivières.
Francisco de Quevedo
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