Nous avions déjà pris cette saga comme exemple des dérives du socialisme.
Nouvel épisode:
A l'ULG, il avait été décidé de ne pas "puiser" dans le quota de l'an passé.
En clair:
Normalement 112 étudiants devaient être "reçus" en 2008 et 112 en 2009.
L'ULG, comme toutes les univs, avaient la possibilité de "puiser" dans le quota de l'an prochain, et donc de "recevoir" 16 ou 17 étudiants supplémentaires.
Avec comme "simple" conséquence que l'an prochain, ce n'est plus 112 étudiants qui pourraient continuer leurs études mais 95.
L'ULG a décidé de ne pas hypothéquer l'avenir. Pourquoi en effet recevoir 129 étudiants cette année-ci et seulement 95 l'an prochain?
Le Conseil d'Etat a considéré que "cette décision n'était pas suffisamment motivée"
C'est vrai qu'en Belgique, les politiques nous ont habitués à une politique à le petite semaine.
L'ULG est mal vue parce qu'elle applique plusieurs principes d'une bonne gestion:
1. Egalité des étudiants: pourquoi en effet favoriser ceux de cette année au détriment de ceux de l'an prochain?
2. Prévoir: il est clair que l'an prochain le problème sera le même et donc, diminuer le nombre de place revient à amplifier le problème de l'an prochain.
C'est le politique qui doit réagir et supprimer cette mesure imbécile.