🎬50e Festival de Deauville - Michael Douglas : invité d'honneur !

Par Redac Cinéstarsnews

Michael Douglas
Invité d’honneur de la 50ème édition du Festival

Michael Douglas © Michael Avedon

 

«Tout le monde dit que le Festival de Deauville est spécial, mais peu de gens peuvent affirmer comme moi qu’il a changé leur vie. »  
Michael Douglas 

  Certaines relations ne trompent pas. Celle qui unit Michael Douglas au Festival de Deauville relève de l’évidence. Comme il l’avait si bien rappelé en septembre 2020, lorsque fut célébrée à Deauville la mémoire de son père Kirk, dernière légende de l’âge d’or d’Hollywood disparue quelques mois plus tôt, le nom « Douglas » a profondément marqué les esprits de la cité normande.

Des Planches à la suite de l'Hôtel Barrière Le Royal Deauville qui porte son nom, sans oublier les salles obscures du Festival, son empreinte est indélébile. Plus qu’aucune autre, sa simple évocation suffit à retracer tout un pan de l’histoire du cinéma américain, où s’entrelacent les époques et les genres, des SENTIERS DE LA GLOIRE à WALL STREET, de SPARTACUS à BASIC INSTINCT.

Comme son père avant lui, Michael Douglas est toujours resté fidèle au Festival. Si les romantiques n’ont pas oublié que c’est à Deauville en 1998 qu’il fit la rencontre de la comédienne Catherine Zeta-Jones, devenue son épouse par la suite, les cinéphiles se souviennent que le Festival n’a jamais cessé de saluer le parcours d’un comédien et producteur majeur de sa génération, entré à son tour dans la légende.

En 2013, de retour pour MA VIE AVEC LIBERACE de Steven Soderbergh, l’artiste américain démontrait à nouveau toute l’étendue de son talent, prouvant qu’il ne pouvait pas simplement être résumé à l’archétype de l’anti-héros qui avait fait sa gloire. Onze ans plus tard, alors que le Festival du cinéma américain célèbre ses 50 ans d’existence, Michael Douglas se devait de revenir fouler le sol normand une cinquième fois pour rappeler ce que le nom Douglas a apporté au 7e art. À Deauville, la relation se perpétue. L’histoire continue de s’écrire.