RUE DU REFUGE à MONTPELLIER

Par Elisabeth Leroy

Je monte la rue du Refuge, le corps penché en avant, je peine un peu.

Je regarde à droite et à gauche : des portes et des fenêtres en bois, en fer, métalliques, anciennes ou récentes défilent de chaque côté. La rue est très étroite et pavée.

Une fille me suit puis pose son grand sac sur le sol. Elle enfonce une clé dans la serrure d'une des portes. Je ne veux pas la déranger ; je poursuis mon ascension.

Je regarde l'heure, il me faut rebrousser chemin car je dois aller travailler.

Je reviens sur mes pas, mes chaussures dérapent un peu. J'ai peur de tomber, comme une fois où le sol était mouillé par la pluie...

Arrivée en bas, je tourne à droite, tout va bien...

Je monte la rue du Refuge, le corps penché en avant, je peine un peu.

Je regarde à droite et à gauche : des portes et des fenêtres en bois, en fer, métalliques, anciennes ou récentes défilent de chaque côté. La rue est très étroite et pavée.

Une fille me suit puis pose son grand sac sur le sol. Elle enfonce une clé dans la serrure d'une des portes. Je ne veux pas la déranger ; je poursuis mon ascension.

Je regarde l'heure, il me faut rebrousser chemin car je dois aller travailler.

Je reviens sur mes pas, mes chaussures dérapent un peu. J'ai peur de tomber, comme une fois où le sol était mouillé par la pluie...

Arrivée en bas, je tourne à droite, tout va bien...