Bourgogne. Canal de

D'incroyables variétés de verts, des cerisiers sauvages de 20 mètres de haut et de la pollution

Pour les carpes c'est le rejet chimique d'une usine. Pour les herbes, c'est " naturel" dans la mesure où les loueurs de bateaux de tourisme incitent la plaisance à utiliser le canal du Nivernais.

Celui de Bourgogne, du moins dans cette portion, est très peu entretenu.

Le loueur, en l'occurrence Loca Boat à Migennes, réduit son personnel et la logistique.

En conséquence VNF* encaissent moins de redevances et l'entretien qui leur incombe s'en ressent.

Un cercle vicieux remplace souvent un cercle vertueux. L'état se désengage, l'activité économique s'en ressent.

Je n'ai rencontré quasiment que des bateaux privés. Kate, qui m'a auto-stoppé pour le retour — sans aucune prévision pour le jour d’après (avais-je seulement anticipé de revenir ?) j'avais confié mon sort au hasard. Il avait prévu une solution incluant moi ET le kayak: la rencontre de Kate et son bateau-stop. Elle m'a épargné le plan fumeux du train de Dijon/Migennes et Migennes/ Dijon en bagnole pour récupérer mon embarcation—, après les passages herbeux, faisait des points morts en eaux libres d'herbes diverses, puis des marches arrières pour dé-s’enrouler les algues autour de l'hélice.

Les petits villages perdent les commerces liés au tourisme — j’ai vu beaucoup de rideaux de fer tirés-.

DRIRE ancienne DDE, et VNF sont gérés comme tout organisme public avec une logique de profit.

Le capitalisme c'est génial " je ne dirais pas que c'est un échec, je dirais que ça n'a pas marché"

S'il y a un peu d'antipolitisme primaire dans cette phrase ce ne pourrait être que fortuit

* voies navigable de France .