Ce qu'en dit la presse :
La prose de Cottet-Emard, d’une étrangeté poétique, se lit avec un vif plaisir et un intérêt soutenu, jusqu’au bout.
Jean-Jacques Marimbert (Encres vagabondes)
Ce petit roman épate à la fois par sa verve caustique et son atmosphère, son délire très contrôlé et son aura lyrique.
Jean-Louis Kuffer (24 heures)
On retrouve dans ce livre l’originalité de l’inspiration et la maîtrise de l’écriture, le sens du fantastique et les talents de conteur de Cottet-Emard qui excelle à nous décrire l’individu broyé et effacé par la politique de l’absurde.
Jean-Jacques Nuel (La Presse littéraire)
Une machination aux accents oniriques dans un quartier lyonnais. Un roman qui brosse un tableau sans concession des rouages broyeurs d'âmes et des intérêts mesquins qui, en sous-main, sous-tendent nos sociétés modernes.
(Voix de l'Ain)
Longue nouvelle, mini-polar, Le Club des pantouflards se lit d'une bouchée. Le décor est planté à Vaise, quartier de Lyon.
Émilie Charrel (Le Progrès)
Plus qu'un polar, une fable noire et ironique sur les masques de la dictature.
Joaquim Vaz de Andrade (Club Cigare Info)
On peut déjà se procurer ce roman en vente par correspondance ici ou en le commandant directement à [email protected]
Pour les personnes d'Oyonnax et sa région, l'ouvrage sera disponible à Oyonnax à partir de la semaine prochaine.