Le rideau s’envole dans mes pensées vagabondes
Balayant d’un revers de tulle la poussière de la table
Le parquet de bois blond joue de la contrebasse
A chaque empreinte dansante de la vie qui y passe
Enfants devenus grands à petits pas de géant
Portent le poids de tous leurs cheveux blancs
Comme autant de brins de sagesse arrachée à la ronde
Celle qui enivre, pareille au vent d’une tempête de sable
Soufflé par l’amour constant d’une petite maman
Adelaide ♥️