Fort à propos, François Fillon Christine Lagarde sont donc venus nous rassurer que tout allait bien sans toutefois nous expliquer pourquoi et comment on allait s'en sortir. Vous avez le sentiment que ça ne servait à rien ? Et bien, pour une fois, vous allez être au diapason de Nicolas Sarkozy qui a déclaré à ce sujet : "On s'en fout de ce genre de réunion, ça ne sert à rien." (Le Canard Enchaîné du 20 août 2008). Même François Fillon a commenté son intervention : "C'était avant tout une opération de gesticulation médiatique pour montrer que le gouvernement n'est plus en vacances, mais au travail.". J'ai l'impression qu'ils ont lu mon billet sur le sujet. Je vais devoir les attaquer pour plagiat ! ;o)
L'élève Sarkozy est toujours content de lui pour avoir ramené la paix en Géorgie (on ne rit pas à gauche, s'il vous plait) et rendu à la France sa place sur la scène internationale. Il s'est encore payé de mots en indiquant qu'il était le président de l'Europe alors que c'est la France (et non son président) qui préside l'Union Européenne, rôle tout à fait symbolique.
Mauvais point pour l'élève Lagarde, qui, non content d'avoir joué les utilités auprès de Fillon lors des révisions de pré-rentrée a fait semblant de croire sur TF1 qu'une croissance positive sur 2008 serait une bonne nouvelle alors que le budget tablait sur 1,7 %. D'un autre côté, en juillet 2007, elle annonçait que les subprimes ne toucherait pas notre pays. L'élève Sarkozy a toutefois été mal noté par notre ami le Dalaï Lama qui a déclaré que c'était Sarko qui n'avait pas voulu le rencontrer.
Je ne sais pas pourquoi, mais on s'en doutait un peu !
Dominik
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