On s’embrasse longuement contre un mur encore tiède du soleil de la journée, à l’angle d’Aurelio-Saliceti et Mattia-Montecchi. Les paumes de Marya enveloppent mon visage, dans le désordre grandissant de son souffle. Mes mains à moi épousent depuis son front la ligne de ses cheveux, glissent aussi vers ses hanches à la rencontre de quelques hyperboles dont j’éprouve le velouté à travers le tissu léger de sa robe.
Antoine Choplin, Partie italienne.
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