Par Colin McGregor | Dossier Criminalité
Quand Jean-Simon Brisebois avait cinq ans, « mes parents se sont battus aux couteaux devant moi », se souvient-il. Il a donc été placé en centre d’accueil par la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ). Un geste qui lui a sauvé la vie, pense-t-il. « J’étais dans un milieu précaire où la drogue était présente. Mon père était un motard ».
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