Attention, lire cet avis spoilera gravement le tome 1.
Résumé : Flanqué de sa cousine Australie (dont le Talent est de se réveiller avec une tête de déterrée), de son oncle Kazan (dont le pouvoir est de se perdre) et de l’indomptable Bastille, Alcatraz part à la recherche de son père qui aurait disparu dans la terrible Bibliothèque d’Alexandrie. Mais il ne fait pas bon s’y promener car les Conservateurs qui y travaillent n’attendent qu’une chose : s’emparer de l’âme des curieux qui veulent emprunter leurs livres…
Avis : Voilà trois mois qu’Alcatraz connait la vérité au sujet des Bibliothécaires, et du Chutland, et il va enfin découvrir le pays des Terres Libres : Nalhalla. Sauf que son grand-père a disparu, que sa cousine Australie vient lui sauver la mise, accompagnée de Bastille, la chevalière en charge de protection des Smedry. Sauf qu’on l’a déchu de son rôle et c’est sa mère Drauline (qui n’a rien de drôle) qui a récupéré le rôle. Et puis il y a aussi Kazan, surnommé Kaz, l’oncle d’Alcatraz. C’est avec toutes ces personnes, qu’Alcatraz décide de changer sa destination, pour se rendre à Alexandrie et visiter sa bibliothèque puisque son père et son grand-père s’y trouveraient. Poursuivie par un Bibliothécaire un peu spécial et dangereux, Alcazar va faire fasse à de nombreux pièges.
Comme pour le premier tome, Alcatraz s’emmêle dans son autobiographie, il essaye de nous piéger, nous répète à quel point il est mauvais et menteur, et finalement se comporte quand même comme un bon gars, un héros et un leader. Malgré tous ses doutes, toutes ses idées foireuses, il est attachant et il se montre gentil et encourageant, que ce soit avec sa cousine Australie ou même Bastille. Il a le talent pour foncer tête baissée dans le danger, mais ça ne lui enlève ni son côté attachant, ni son côté marrant.
Incroyable tout de même, la bibliothèque d’Alexandrie n’a pas été détruite, elle existe encore vraiment, même si les Bibliothécaires essayent de nous le cacher. Le seul problème c’est qu’il faut être prêt à perdre son âme pour pouvoir y lire ne serait-ce qu’un ouvrage. Ce qui est bien dommage parce que c’est vachement attirant disons-le.
Alcatraz aime nous faire mariner, il nous mets des indices sur ce qui se passera dans la suite de l’histoire et on a hâte de tourner les pages, mais aussi on a envie de découvrir les autres tomes. J’aime vraiment beaucoup cet autobiographie et je suis ravie de découvrir le véritable monde et tout ce que l’on nous cache.
Phrase post-itée :
« Tous les bibliothécaires ne sont pas d’infâmes fanatiques. Certains sont des morts vivants revanchards qui veulent dévorer votre âme.
Bien. Je suis content qu’on ait clarifié la chose. »
Mon avis sur :
Le tome 1