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Ceux qui s’adaptent, et les autres…

Publié le 09 mai 2024 par Chrisandflow

Mon tout dernier guide pratique, le Manuel de la séduction naturelle, est disponible.

Ceux qui survivent ne sont ni les plus forts, ni les plus intelligents, mais ceux qui s’adaptent le mieux aux changements.

C’est une phrase de Charles Darwin. 

Aucun rapport avec la séduction, du moins en apparence. 

Pourtant, je pourrais dire à peu près la même chose : ceux  qui réussissent sont ceux qui s’adaptent, qui ne cherchent plus à séduire exactement comme avant

Les femmes, la société, les technologies… tout a changé !

L’ambiance dans les lieux publics n’est plus la même ; les attentes des femmes vis-à-vis des hommes non plus.  Et c’est pareil pour un tas d’autres choses. 

Ces changements ont rendu, c’est vrai, les rencontres et la séduction plus difficile… SURTOUT pour ceux qui cherchent à rencontrer et séduire exactement de la même manière aujourd’hui qu’au milieu des années 2000. 

Je prends un exemple simple :

Entre 2006 et 2015, on pouvait prendre le numéro d’une fille, disparaître dans la nature, correspondre avec elle avec de simples textos et avoir de bonnes chances de la revoir. Et ce, même si elle ne se rappelait plus exactement à quoi on ressemblait (ce qui est normal : après quelques jours on n’en a plus qu’un vague souvenir) et qu’elle connaissait peu de choses sur nous.

Puis les réseaux sociaux et les apps de rencontres ont fait leur apparition. Les filles ont pris l’habitude d’avoir à disposition des infos et photos des mecs avec qui elles étaient en contact. 

Donc, par contraste, les mecs qui ont continué à se contenter de correspondre par SMS, dans l’anonymat le plus total, ont commencé à être perçu comme beaucoup moins sécurisants ! 

À côté de ça, il y a eu ceux qui se sont mis à utiliser leurs réseaux sociaux – Instagram, Facebook, Whatsapp, etc. – pour permettre aux filles d’apprendre à mieux les connaître indirectement

Pour ma part, j’étais même allé plus loin : j’avais créé un site web, avec une belle photo, une page « à propos » remplie de petites infos sur moi, et rédigé quelques petits articles sur le développement perso et l’écriture.

Ainsi, quand une fille « enquêtait » sur moi par curiosité après notre rencontre, elle pouvait découvrir un tas de (bonnes) choses sur moi. Sans avoir eu à échanger un seul SMS avec elle, j’étais déjà BEAUCOUP moins anonyme (donc : beaucoup plus sécurisant) que n’importe quel mec lambda qui aurait pris son numéro dans la rue, en boîte, sur une app ou même dans une soirée.  

Et qu’est-il arrivé ? 

Mon ratio numéro/rendez-vous a (logiquement) augmenté !   

Tandis que ceux qui sont restés dans l’anonymat ont vu ce même ratio diminuer.

Cette évolution technologique a rendu la séduction plus difficile pour EUX, mais pas pour moi !

Comme j’ai compris qu’une présence virtuelle devenait quelque chose d’important pour les femmes, et que je me suis adapté, j’en ai même tiré profit.

Bien sûr, on peut encore séduire sans présence virtuelle.  Si vous n’avez pas du tout envie de vous montrer sur internet, je peux comprendre… Moi-même, je suis de nature discrète, je n’aime pas me montrer. C’est une concession que j’ai faite pour que mes efforts « sur le terrain » paient davantage.  

Cependant, si vous faites des approches “à froid” – sans connaître ni avoir aucun lien avec la fille -, vos chances de revoir les filles vont être probablement 2 à 3 fois moins grandes que pour un mec qui a une bonne « présence virtuelle », avec des photos sympa et quelques infos qui le mettent bien en valeur. 

Autre exemple : la manière de rencontrer. 

Dans les années 2000, on pouvait encore aborder en plein milieu d’une foule de gens sans avoir l’air trop « suspect ». Les filles n’étaient pas aussi suspicieuses qu’aujourd’hui.

On pouvait aller dans des rues bondées le samedi après-midi, accoster des dizaines de nanas en peu de temps, et prendre quelque chose comme 1 numéro pour 3 approches.

Aujourd’hui, le rapport effort-résultat de la drague “industrielle” dans la rue est devenue bien moins « rentable ». 

On n’est plus dans une époque propice à cela. Les femmes sont devenues trop suspicieuses.

Mis à part si…

  1. Vous draguez essentiellement des touristes (beaucoup s’en foutent que vous soyez un dragueur notoire ou pas), et/ou…
  2. Vous êtes très attirant, avec une excellente « vibe », donc les femmes sont bien plus “indulgentes” avec vous qu’avec un mec ordinaire…

…ça marchera mal ! 

Là encore, je ne dis pas que ça ne marche plus du tout. Je connais des mecs qui font encore de la drague industrielle dans des endroits bondés, et qui chopent. Et même qui chopent régulièrement !

Le hic, c’est qu’ils doivent probablement accoster quelque chose comme 200 ou 300 femmes pour séduire UNE. Et ça, tout le monde ne peut pas le faire. 

Déjà parce qu’il faut vivre dans une très grande ville (dans une ville de taille normale, c’est IMPOSSIBLE de faire autant d’approches sans se faire griller sur la durée : réaborder les mêmes femmes plusieurs fois, être reconnus, se faire remarquer en train d’aborder par des gens qu’on connaît, aborder une pote de sa copine, etc.).

Ensuite, parce qu’il faut avoir le tempérament pour : il faut être quelqu’un qui ne rechigne pas à aller au charbon, et  être une “tête brûlée” qui peut encaisser les rejets par dizaines sans que ça le gonfle ou dégrade son estime de lui-même. 

Tout le monde n’est pas comme ça.  Et si vous avez plus de 30 ans, il y a encore moins de chances que vous le soyez, même si vous avez pu l’être par le passé.   

Aujourd’hui, il vaut mieux profiter des occasions du quotidien (quitte à les provoquer un peu) :

  • Quand vous sortez du bus en même temps qu’une fille mignonne,  
  • Quand vous croisez une fille mignonne au super marché, ou en rentrant du boulot.
  • Quand vous prenez un café/une bière en terrasse avec un pote. 
  • Etc. 

Plus vos approches semblent « spontanées », mieux c’est ! 

Vous ne devez surtout pas donner l’air d’un mec qui traîne possiblement dans les environs juste pour ça.

Si vous voulez rencontrer des femmes en daygame aujourd’hui, c’est plutôt vers ça qu’il faut vous orienter. Là encore, j’ai commencé à l’expliquer il y a déjà quelques d’années. 

Ceux qui ne se sont pas adaptés et qui font encore comme avant…

  • Qui draguent encore en mode « zonard » dans le parc du Luxembourg ou dans un quartier du centre ville toute la journée, comme à l’époque de Soral… 
  • Qui marchent en boucle dans les rues du centre-ville le samedi après, en mode daygameur des années 2000…  

…ont BEAUCOUP plus de mal à faire des rencontres aujourd’hui.  

En fin de compte, il y a deux types de dragueur…

  • Il y a ceux qui ne s’adaptent pas.

Qui s’obstinent à faire exactement la même chose que 10-20 ans auparavant. Puis qui décrètent que rencontrer des femmes est devenu “trop difficile”, parce qu’aujourd’hui (par rapport à avant), il faut faire ceci et cela en plus, et que les femmes sont davantage sur la défensive.

  • Il y a ceux qui s’adaptent.

Qui font ce qui est nécessaire de faire aujourd’hui pour séduire, et qui continuent à rencontrer des femmes, même dans des endroits considéré difficiles comme la rue, la boîte de nuit ou Tinder.   

Il y a toujours – et il y aura toujours – des mecs qui rencontreront des femmes, quel que soit l’endroit. 

À vous de vous adapter pour en faire partie ! 

Et si vous n’avez pas envie de faire d’effort pour rencontrer des femmes qui, selon vous, n’en valent pas la peine (je peux comprendre ce point de vue) libre à vous de vous de partir ailleurs ! 

Je le dis et redis, il y a beaucoup d’endroits dans le monde qui proposent (ou proposera) une bien meilleure qualité de vie et des femmes plus belles et accessibles. 

Si votre but est d’avoir une vie plus épanouie, et pas juste de vous plaindre pour avoir de la validation émotionnelle, c’est une option à étudier. 

Mon tout dernier guide pratique, le Manuel de la séduction naturelle, est disponible. Il a été lancé il y a quelques jours.

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