La décarbonation est sur la bouche de tous les fabricants au salon Intermat et le béton n'est pas étranger à cette orientation industrielle.
Colin Rousselet, rédacteur au magazine Béton(s) a proposé ce jeudi 25 avril en matinée un débat avec divers experts pour questionner cette transformation majeure du secteur. Il a invité John-Erik Reiersen (Président de Betong Norge), François Redron (Directeur général de Cimbéton), Yannis Martin (Directeur commercial de Hoffmann Green Cement), Patrick Montagné (Directeur d'activité de Mapei) et Julien Beideler (Directeur général de l'Union de la maçonnerie et du gros œuvre) à venir parler de la réduction de l'empreinte carbone des bétons. Du cimentier à l'adjuvantier, chaque partenaire du processus est en première ligne pour parvenir à un résultat probant. Mais quels sont les différents vecteurs qui permettent d'agir sur la décarbonation ?
Afin de diminuer les émissions de CO2 dans la fabrication du béton, il faut baisser fortement le taux de clincker dans le ciment. Il s'agit d'une solution pérenne et accessible.
Mapei offre des solutions complètes pour réduire l'empreinte carbone de la production de béton, notamment par l'utilisation de matériaux cimentaires secondaires (SCM) tels que le laitier, les cendres volantes, la pouzzolane naturelle, ...
Mapei a développé le CUBE system : une approche intégrée qui aide l'industrie du béton à compenser les difficultés liées à l'utilisation du ciment à teneur réduite en clicher et à l'utilisation de granulats recyclés ou de moins bonne qualité sourcés localement.