Tout à l’heure, je me suis pris une saucée, meuh-meuh… A la montée (tirage) et à la descente (grattage). Je suis rentrée trempée mouillée et me suis aperçue que mon cuir prend l’eau. Tant pis, pas les moyens d’en changer.
Tout ça pour poster une lettre. Mais j’avais une photocopie à faire et mon imprimante est fichue. Je ne vais pas acheter une cartouche, juste pour la partie photocopieuse qui marche très mal au demeurant.
Toujours est-il qu’après être montée au pas de charge, ne voulant pas louper la dernière levée, je fais ma photocopie, la glisse dans la lettre et vais au lieu habituel des boîtes aux lettes. Rien. Si, juste une affichette indiquant que la boîte est désormais au coin du bureau de Poste.
Normalement, la levée est à 16 heures. Mais que lis-je ? la dernière levée est à 12 heures !
Tant pis, ma lettre aura du retard.
Je repars sous le même déluge, me disant que vraiment, La Poste attige et que plus on paye cher, moins bon est le service rendu (ça promet !).
Ce n’est qu’en descendant la rue du Temple que j’ai une illumination (pareil Saint-Paul sur le chemin de Damas !). Preuve que j’ai bien «l’esprit de l’escalier» mais il ne… «bibliothèque» pas !
Mais c’est bien sûr ! ça y est, ils ont profité des vacances pour fermer le centre de tri postal de Montmorency… (tous les services publics ferment les uns après les autres depuis 1995… Une vraie «cité-dortoir» et mouroir, vu le nombre faramineux de maisons de retraite… c’est ça l’avenir ?) J’en avais déjà parlé sur le blog après avoir rencontré notre facteur qui était vraiment en pétard… Le tri devait être transféré à Groslay.
Déjà, le bureau de poste il y a quelques années ouvrait à 8 heures. C’était bien pratique, il y avait peu de monde. Depuis, il ouvre à 9 heures et tout plein de gens attendent. Cela me fait bien rigoler quand j’entends qu’on aménage les horaires pour les usagers… pardon, maintenant il faut dire «les clients» et plus sûrement encore : les cochons de payants !