Choisir l'Arabie saoudite pour présider la Commission pour les droits des femmes à l'ONU est tout simplement scandaleux.
L'acclamation du nouveau président saoudien, Abdulaziz Alwasil, ne doit pas cacher cette stratégie afin de redorer l'image du pays. Le bilan de l'Arabie Saoudite est désastreux en matière de droits des femmes et incompatible avec cette fonction. Il est regrettable que la France n'ait pas cru bon de s'opposer à une telle nomination !
Après la nomination de l'Iran en 2021, il est urgent de redonner à cette commission son rôle de défenseur véritable des droits des femmes.