Aux Assises nationales des soins en EHPAD, organisées par Planete Grise et Luc Broussy, à Paris 12, j’ai rappelé qu’une loi d’ultime liberté respectera forcément et obligatoirement toutes les consciences.
Un soignant qui ne souhaitera pas mettre en oeuvre un soin ultime n’y sera pas contraint et cela sera garantit dans la loi grâce à une clause de conscience.
C’est un nouveau droit qui respecte enfin le mourant mais aussi tous les soignants.