BACK TO BEFORE AND ALWAYS.... Big Country

BACK TO BEFORE AND ALWAYS.... Big Country - titre ' Look Away'

Flashback

Considérations périodiques... par NoPo!

BACK TO BEFORE and ALWAYS... BIG COUNTRY LP 'The seer' 1986 Titre "Look away"

En 1981, l'heure de 2 Ecossais sonne :
Stuart Adam-son (chant et guitare), ancien membre de The Skids dont on a parlé ici (avec la même blague, je radote!)
et Bruce Wat-son (guitare) qui met les Watts sans volte-face.

Big Country, nait et les 2 'sons' sont, dans un 2è temps, rejoints pour la période allant jusqu'à 2000 par le bassiste Tony Butler et le batteur Mark Brzezicki.
Ces deux derniers ont déjà fait des sessions avec Roger Daltrey et Pete Townsend (de 'qui' vous savez) et Butler a même prétendu aux Pretenders jouant sur "Back on the chain gang" en 1983 mais il a préféré Big Country.
Cette même année, illico, Lillywhite illumine la production de leur premier album "The crossing".
Leur style évoque la musique celtique avec leurs guitares cornemuses pleines d'emphase et contre tout qu'il fallait vivre en concert.
Le groupe publie 8 albums jusqu'en 1999 dont les premiers escaladeront la tête des charts (5 albums dans le top 10).

Au moment du second album "Steeltown", Bruce Watson confie "La moitié des auditeurs aimeraient nous taper sur l'épaule pour nous encourager et l'autre sur la gueule pour nous arrêter!"

Après le suicide de Stuart en 2001, le groupe disparait mais se reforme en 2007 pour des concerts où Bruce (k raté rien) lie (ahaa!) encore le groupe.
Leur dernier album studio 'The Journey ' parait en 2013, avec Butler et Watson, avec Mike Peters, le chanteur du groupe The Alarm (qui sonne aussi),
et Derek Forbes l'ancien batteur de Simple Minds ainsi que Jamie Watson, le fils de Bruce. Belle brochette!

Malgré pas mal de turn over dans le groupe, Big Country tourne toujours et les Watts sonnent encore!

Retour sur l'album 'The Seer' en 1986 dont le morceau titre invite Kate Bush. Un album très représentatif de leur style flamboyant.
'Look away' n'y déroge pas avec une entrée en matière roulante et un riff réverbérant.
Le rythme cogne tout droit derrière les guitares cristallines jusqu'au refrain sur des braises où l'on se prend à beugler avec Stuart 'Look away Look away'
Un peu pompier mais vraiment incendiaire!