Autant dire qu’il ne reste que quelques semaines pour découvrir cette exposition inédite... d’un artiste qui depuis plus de 40 ans explore les relations de l’homme à l’espace qui l’entoure à travers le corps humain.Intitulée Critical Mass, l’exposition se déploie dans tous les espaces du musée, jardin, salle d’exposition temporaire, galerie des marbres, collections permanentes.Composée de soixante sculptures de taille humaine (même si je n’en ai compté que 45, tous des hommes au demeurant), l’installation principale occupe la salle d’exposition temporaire et le jardin. L’effet de nombre devient saisissant. Dans cette œuvre majeure, Gormley identifie douze positions fondamentales du corps humain, celles-ci ont été moulées cinq fois, puis placées dans différentes positions, recherchant des effets contradictoires et parfois absurdes, comme l’illustre la première photo que j’aurais envie de sous-titrer «La tête dans le mur»..
Autant dire qu’il ne reste que quelques semaines pour découvrir cette exposition inédite... d’un artiste qui depuis plus de 40 ans explore les relations de l’homme à l’espace qui l’entoure à travers le corps humain.Intitulée Critical Mass, l’exposition se déploie dans tous les espaces du musée, jardin, salle d’exposition temporaire, galerie des marbres, collections permanentes.Composée de soixante sculptures de taille humaine (même si je n’en ai compté que 45, tous des hommes au demeurant), l’installation principale occupe la salle d’exposition temporaire et le jardin. L’effet de nombre devient saisissant. Dans cette œuvre majeure, Gormley identifie douze positions fondamentales du corps humain, celles-ci ont été moulées cinq fois, puis placées dans différentes positions, recherchant des effets contradictoires et parfois absurdes, comme l’illustre la première photo que j’aurais envie de sous-titrer «La tête dans le mur»..