Il y a des signes qui ne trompent pas : les vomissures archiEtecturales produites depuis la Seconde Guerre mondiale renseignent sur le niveau de notre civilisation et sur l’état d’esprit des peuples du moment.
Le temps coulant défigure nos villes et villages : ne parlons plus de bâtisses, mais de monceaux informes, ni de fenêtres mais de trous à l’insipide géométrie, plus de façades, juste de plates immondices qui occultent le ciel.
Du rien, du vide, du néant qui fait baisser le regard bovin en attendant la fosse et l’oubli. La trajectoire, tant collective qu’individuelle, se trouve incarnée par cette archiEtecture pour humanité ras de crasse.