J’ai remarqué qu’à chaque fois que je délaissais mon blog, on m’envoyait un questionnaire sur le sexe.
Et bien non. Si je ne suis pas une bloggeuse assidue, ce n’est pas parce que je fais des choses honteuses et abominables mais qui font rudement du bien… Que nenni… Enfin pas toujours.
Cela dit, je devrais vous abandonner plus souvent, ça me fait délirer de répondre à ces questionnaires. Surtout que je ne sais pas être « sérieuse » avec ce sujet. Peut-être m’est-il encore un peu tabou, je ne sais pas, mais j’ai toujours besoin de déconner quand on aborde le sujet. Même au pieu, dans la cabine d’essayage du Décathlon, la voiture, la table à dessin, la cabine d’ascenseur, la douche du Formule 1…
Bon. Comme l’a précisé Horox, cette fois, je réponds à son questionnaire sur MON blog. Je sais, c’est mal de squatter les commentaires des autres. Sorry !
Hop, questionnaire coquin, je vais essayer d’être honnête (muaahahahah), de ne pas déraper (quoique…) et de booster les keywords.
—Rayez la mention inutile.—
-Si j’étais un sous-vêtement ?
–Un Damar / Un corset.
-Si j’étais un sextoy ?
–Mon ex / Une Wii-mote.
-Si j’étais un fantasme ?
–Un prix Goncourt / James Blunt.
-Si je devais te dire quelque chose à l’oreille pendant qu’on fait l’amour ?
–T’as pensé au pain ? / C’est à vous tout ça ? / Euh… Ca c’est le nombril… /
Diantre ! J’en ai tellement des phrases qui tuent… Et étrangement, ça a son succès.
-Si j’étais Clara Morgane mais avec mon cerveau actuel ?
–C’est pas pour la célébrité que je coucherais… / Coincée comme je suis, je serais mannequin pour le catalogue automne-hiver de la Nasa.
-Si j’étais un détail absolument irrésistible ?
–Les mains d’un musicien / Une trace de griffe sur les reins.
-Si j’avais une morale sexuelle ?
–Un samedi sur 2 dans la position du missionnaire et dans le noir / Rien de douloureux ou humiliant… (Merde, je sais pas quoi répondre… Mais la morale et moi, vous savez bien…)
-Si je me réveillais demain sans pénis ni vagin ?
–Je serais un ange / J’saurais pas où mettre mon Tampax.
Et sur ces douces, fines et sages paroles, j’m’en vais noyer mon célibat dans un film guimauve !