Relation sérieuse : attention à ce type de femme…

Je n’ai jamais observé de corrélation flagrante entre le niveau de revenu d’un homme et sa réussite avec les femmes. 

J’ai connu BEAUCOUP d’hommes qui gagnaient très bien leur vie, mais qui galéraient à rencontrer et intéresser des femmes. 

J’en ai aussi connu des fauchés, sans emploi, qui parvenaient à choper régulièrement. 

Et, d’après mon expérience de coach, ce sont TRÈS rarement les hommes qui exercent les meilleures professions – celles qui payent le mieux – qui ont le plus de facilité à obtenir des résultats. Probablement parce que ceux qui décrochent de meilleurs diplômes sont aussi les plus disciplinés, réservés et introvertis que la moyenne. Ils sont prédisposés à être plus « scolaires ».

En bref, mon expérience contredit pas mal la théorie selon laquelle les femmes seraient attirées par l’argent, au même titre que l’apparence ou l’attitude qu’un homme dégage.

Toutefois, ce n’est pas parce qu’elles ne sont pas attirées par l’argent que ça ne les intéresse pas, surtout dans une perspective de relation à long terme.

[NB : il faut savoir faire la distinction entre attirance et intérêt, deux notions différentes]

Si on définit bien l’hypergamie, comme la volonté de se mettre avec quelqu’un de socialement supérieur, alors oui : une certaine hypergamie s’applique avec une partie des femmes en recherche d’une relation « sérieuse », à long terme. Mais pas TOUTES les femmes (j’en ai déjà parlé dans cet article). Seulement celles qu’on appelle les “provider’s hunters” dans le jargon de la communauté de la séduction.

Avec ce type de femme, comme avec les michetonneuses, la situation financière d’un homme est une variable importante, qui va largement conditionner leur choix de s’engager (ou pas). 

Beaucoup d’hommes avec une bonne situation économique, mais mauvais séducteurs, finissent avec ce genre de femme.  

Elles sont relativement nombreuses, surtout autour de la trentaine, car c’est vers cet âge-là qu’un paradigme opère dans leurs attentes.

Pour schématiser vulgairement :

• à 20 elles cherchent un homme (ou plusieurs) pour profiter de la vie ;
• à 30 elles cherchent un homme pour l’aider à élever des gosses et/ou avoir un style de vie plus confortable.

Ces femmes « intéressées » adorent le profil d’homme, qui a un bon capital économique et qui est compliant – trop gentil/faible pour dire « non ».

Ce ne sont peut-être pas les hommes qui les attirent le plus (loin de là), mais ce sont les meilleurs conjoints pour leur offrir un confort de vie qu’elles ne pourraient pas avoir seules, ni avec Jean-Kevin le beau brin ténébreux bodybuildé d’un mètre quatre-vingt-dix, qui vit d’amour et d’eau fraîche.

Mais le hic avec ce genre de femmes, c’est qu’elles ne sont pas avec vous pour votre personnalité et ce que leur faites ressentir.

Peu importe les histoires que vous vous racontez, elles sont avec vous essentiellement parce que votre portefeuille est bien rempli.  

Elle a peut-être un profil plus discret, plus innocent que Nabila la grosse micheto, qui ne s’intéresse qu’aux mecs qui ont un Yacht ou une Lamborghini, mais c’est malgré tout votre capacité à financer, totalement ou en bonne partie, ses désirs matériels et maternels qui l’intéresse.

Le jour où par malheureux vous perdez cette capacité, elle perdra son intérêt. CQFD.

Je vais même vous prévenir d’une chose : elle n’aura AUCUN scrupule à vous remplacer pour un autre.

Vous avez donc plutôt intérêt à garder votre boulot jusqu’à la retraite (chose de plus en plus difficile).

Je sais… C’est cruel.

On a du mal à s’imaginer qu’une femme « normale » peut être capable de ce genre de chose.

Mais si on ouvre un peu les yeux, on peut s’apercevoir que le scénario est TRÈS courant… Le mec qui se met à galérer financièrement, puis qui perd sa copine/femme dans la foulée.

Bien sûr, elles trouveront une raison socialement acceptable : il a changé depuis qu’il s’est fait licencié, on n’était plus sur la même longueur d’onde, bla-bla-bla. Mais c’est juste l’explication officielle, parce que la véritable raison n’est pas avouable.

C’est un scénario qui est encore arrivé à un de mes amis récemment. Un mec gentil, sérieux, loin d’être un “dragueur”, et encore moins un connard avec les femmes.  

C’est typiquement le genre de mec qui, durant une bonne partie de sa jeunesse, est resté complètement invisible aux yeux des femmes. Puis vers vers la trentaine, il a commencé à percevoir un bon revenu et à être perçu comme un “bon parti” par quelques-unes.

Il a fini par se mettre en couple avec une fille mignonne et sympathique.

La relation s’est bien passée durant quelques années. Le couple paraissait plutôt épanoui. 

Lui avait une copine qu’il aimait ; elle avait le style de vie qu’elle n’aurait jamais pu avoir sans lui. Chacun apporter une plus-value à l’autre.  

Mais à côté de ça, il détestait son boulot…

L’ambiance au bureau, la routine du salarié, etc.

Il a fini par faire un burn-out.  Ensuite il a décidé de quitter son boulot pour se lancer dans l’entrepreneuriat en ligne. 

Il s’est donc retrouvé avec un revenu bien moindre.

Et devinez quoi : plutôt que de le soutenir dans cette période difficile, sa copine s’est tirée ! 

C’est même pire que ça : peu de temps après qu’il ait quitté son job, elle a commencé à fréquenter quelqu’un d’autre dans son dos. Et dès que la relation avec l’autre mec s’est stabilisée, elle a rompu.

Elle est partie vivre avec un autre homme, parce que l’ancien n’avait plus assez à lui offrir.  

Malheureusement, c’est ce qui arrive quand on appâte une femme grâce à un capital économique précaire. 

Le jour ça va moins bien financièrement (on perd son boulot, on fait un mauvais investissement ou autre), la relation cesse de l’intéresser ! 

Morale de l’histoire : faites attention au type de femme qui vous vous mettez, et surtout à ce qui les intéresse chez vous.

Car le jour où ce qui l’intéresse disparaît, la relation cesse d’être intéressante et, tôt ou tard, elle partira.

C’est vrai pour le capital financier, mais aussi pour la passion !

La différence, c’est qu’on peut aisément garder sa personnalité et son attitude à vie (ça dépend de nous).

Pour le revenu, c’est moins sûr. Surtout à une époque où l’économie est instable.

Chrys

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