Citoyens !
Seth Godin nous fait partager une réflexion intéressante sur le rôle du marketing. Il part du principe suivant : ce qu’on a ne nous rend pas malheureux. C’est ce qu’on veut qui peut nous conduire dans cet état :
A journalist asked me, Most people have a better standard of living today than Louis XIV did in his day. So why are so many people unhappy?
What you have doesn’t make you unhappy. What you want does.
And want is created by us, the marketers.
Marketers trying to grow market share will always work to make their non-customers unhappy.
It’s interesting to note that marketers trying to maintain market share have a lot of work to do in reminding us that we’re happy.
Cette frustration, nécessaire pour continuer à développer des parts de marché, serait organisée par le marketing : le marketer devrait réussir à maintenir ses non-clients insatisfaits et / ou malheureux (sic) et rendre ses clients heureux.
2 points de critique cependant :
- c’est généralement en maintenant ses clients captifs suffisamment insatisfaits que les entreprises peuvent continuer à leur proposer des services additionnels
- avec le développement de solutions de personnalisation “what you want” n’est pas un générateur de frustration, mais au contraire un formidable levier actif pour obtenir ce qu’on veut. Ce n’est donc plus une notion négative, mais positive