Plonk et Replonk sont trois Suisses et font de leurs correspondances commerce. Ils éditent des cartes postales et peut-être aussi des crayons. Ils ne craignent ni le ridicule ni la ride où qu’elle soit.
Et quand Plan et Duplan leur demandent « pourquoi les mélèzes sont-ils si près ? », voici ce qu’ils répandent :
Plonk : Parce que le mélèze est un bon combustible et que sur les hauteurs du Jura profond, au coeur de l’hiver, le fourneau à bois et la caravane passe.
Replonk : Parce qu’un cyprès, ça peint.
Et moi, lecteur de ce livre édité et primé par Glénat, je regrette qu’après la question à propos des mélèzes, il n’y ait pas, pour approfondir le sujet, quelques mots à propos des balèzes.