Traduit de l’anglais par Francine Sirven, Eve Vila et Etienne Menanteau
❤ J’avais pioché en bouquinerie le troisième tome de cette série. J’avais déjà lu auparavant les deux tomes du Cupcake café, j’étais donc impatiente de renouer avec l’univers sucré de l’autrice. Bien entendu, il me fallait les deux premiers. Un petit passage à Brest et à la librairie Dialogues début décembre m’a permis de compléter la trilogie. Je voulais une lecture tout douce pour cette semaine de Noël, après une fin d’année un peu chargée. Suivre Polly en Cornouailles a été un souffle dépaysant bienvenu et un plaisir de lecture assez inattendu !… Polly a du se résoudre à la faillite de l’entreprise qu’elle dirigeait avec son compagnon. Lui, est allé se réfugier chez sa mère. Elle, doit trouver une location capable de rentrer dans son budget serré. Après quelques recherches, et un peu de désespoir, elle se résout à quitter Plymouth pour l’île de Mount Polbearne, dans les Cornouailles. Son logement est à la limite de l’insalubrité, et sa propriétaire, la boulangère du village, une mégère. Pour se remonter le moral, Polly s’adonne à son passe-temps favori, faire du pain, et adopte un macareux blessé venu s’inviter un soir de tempête. Sa production attire d’abord les marins du port, puis le village tout entier. Polly redoute alors de plus en plus la réaction de sa propriétaire… J’ai dévoré ce premier tome, tant j’ai aimé retrouvé dans ce roman un univers îlien, qui me rappelle nos vacances en Bretagne. J’avais beaucoup aimé déjà les deux tomes du Cupcake café, qui m’avaient presque donné envie de cuisiner. J’ai préféré cet univers là, plus rude, moins sucré, moins léger. Le dépaysement est garanti, et il est toujours assez inspirant de voir comment un personnage réussi à changer de vie.
Editions Pocket – janvier 2016
J’ai aimé ce livre, un peu, beaucoup…