La plupart des Étatsuniens suivent cette trame, liés par du drame. Si cette personne avait eu le temps de réfléchir un peu, elle serait toujours sur terre. Mais dans la plupart des villes, les armes à feu se trouvent à moins de 20 minutes, au dépanneur, près des bières.
Certains à l'école, d'autres dans les centre commerciaux, les églises, les autobus, on été pointés du fusil par un adolescent. Une machine de la mort à bout de bras. Une terreur en déploiement. Et si vous pensez qu'un fusil, sur quelqu'un de bienveillant, aurait freiné tout ça, vous tentez de démêler ce noeud en ajoutant des cordes. Vous êtes vautour qui pensez savoir mordre.C'est un peu tous ces gens qu'on a laissé dehors se noyer. C'est un peu le capitalisme et le pouvoir qui ne cessent de vouloir progresser. C'est un peu l'internet et la manière dont on élève nos garçons, mais c'est principalement les armes à feu dans le fond.
Ce sont les armes à feu dans le fond.Je ne veux pas entendre d'arguments que vous prétendez ainsi croire à moins que vous n'acceptiez d'argumenter avec la mère qui pleure son enfant encore. Vous ne voulez que rien essayer, pour ainsi vous sauver. J'espère tellement un jour être capable de bloquer les balles avec vos pensées et vos prières, presqu'aussi efficacement qu'on se trouve un gun, tout près des bières.
Savez vous que les lois sont inscrites dans la constitution, et qu'elle peuvent être changées quand les tueries de masses sont devenues légion ? Quand porter un kit de survie à la rentrée scolaire et pratiquer la gestion d'assassins lousses invitent la frousse. Et n'étonnent plus les jeunes qui poussent.
C'est le bon sens qui tousse.Nous n'avons pas souvent vu un si grand groupe de tyrans si déterminé à ne jamais broncher, même quand ce sont des enfants de maternelle qui se font pour rien, assassiner. Désolé de freiner vos ventes avec nos corps et notre sang. Désolé de vouloir se parler entre grands, sans le faire, vraiment.
C'est un peu tous ces gens qu'on a laissé dehors se noyer. C'est un peu le capitalisme et le pouvoir qui ne cessent de vouloir progresser. C'est un peu l'internet et la manière dont on élève nos garçons, mais c'est principalement les armes à feu dans le fond.
Ce sont les armes à feu dans le fond.Rachetez tous les fusils, des esprits appauvris, changez la constitution, il le faut aussi. Vous avez inventé ce droit individuel qui vous ferait sentir plus fort, mais le droit des enfants de grandir s'évapore, et le droit de vivre en paix serait une invention de votre Dieu pas plus vrai. Si t'es pas d'accord à faire tout ça, tu changes la christ de loi, ce sont les armes à feu, ce sont les armes à feu, regardes-moi dans les yeux.
Ce sont les armes à feu.
Et les fragiles qui les veulent toutes et qui continuent de barrer la route, à tous celles et ceux qui ne demandent qu'à vivre mieux, vous protégez la NRA et rien d'autre, dans ce cafarnaùm que vous avez fait vôtre. Ce droit que vous vous inventer c'est celui de mourir avant l'heure, parce que maintenant, ce sont plus de 40 000 qui chez vous, en meurent.C'est un peu tous ces gens qu'on a laissé dehors se noyer. C'est un peu le capitalisme et le pouvoir qui ne cessent de vouloir progresser. C'est un peu l'internet et la manière dont on élève nos garçons, mais c'est principalement les armes à feu dans le fond.
Ce sont les armes à feu dans le fond.La NRA a gagné on ira protéger ce qui n'est pas encore une vie, en gérant le corps des femmes dans des États qui n'en méritent pas. La colère du lundi est désormais oubliée le samedi. En bas, aux États, c'est désormais aussi Gaza. Une indifférence commune aux nouvelles. Un entrefilet moral passager. Une traumatisme qu'on ne veut pas soigner. Une maladie digérée qu'on arrive à flusher.
Un faux droit constitutionnel. Une gestion fièrement dysfonctionnelle.