Assis derrière la fenêtre du premier étage, je regarde dériver les méduses qui ont touché le fond il y a une éternité de cela et qui vont peut-être remonter le fil de leurs pensées jusqu’à émerger dans la réalité d’un autre patient spectateur.
Les méduses allument des contrefeux qui crépitent dans les forêts sous-marines où parfois à l’arrêt de bus se cachent des sirènes alcoolisées sous d’épaisses couvertures dépourvues d'écailles.