Le projet PALM-TREEs, financé par le CRDI-FCDO CLARE, a coorganisé ce 11 décembre un événement parallèle au sein du pavillon de l’UICN à la COP28 à Dubaï. Cette session a permis de mettre en lumière les menaces croissantes des phénomènes climatiques extrêmes en Afrique subsaharienne.
Pendant 1h, les principaux chercheurs du projet PALM-TREEs ont fait le point sur leurs priorités et approches en matière de recherche sur les extrêmes climatiques. L’objectif : renforcer la résilience des communautés marginalisées d’Afrique centrale face à la multiplication des événements météorologiques hors normes.
Favoriser l’accès à l’information climatique
Les intervenants ont insisté sur la nécessité de fournir aux populations vulnérables une information de qualité adaptée aux risques locaux spécifiques. Le projet PALM-TREEs développe ainsi de nouvelles approches pour rendre les données climatiques plus compréhensibles et utilisables par les communautés exposées.
L’accent est également mis sur l’inclusion des femmes et des filles issues de milieux marginalisés dans l’action climatique, via un meilleur accès aux ressources et opportunités.
Une vitrine à l’échelle internationale
Grâce à cette session parallèle organisée en marge de la grand-messe planétaire qu’est la COP28, le projet PALM-TREEs a bénéficié d’une précieuse caisse de résonance pour ses travaux. L’équipe espère avoir convaincu les décideurs de l’importance d’adopter une perspective panafricaine et transdisciplinaire sur le changement climatique, seul moyen de ne laisser personne de côté face à l’urgence.
Ce rendez-vous a également été l’occasion d’échanges fructueux ouvrant la voie à de nouveaux partenariats stratégiques. De quoi accroître encore l’influence du programme PALM-TREEs et son impact concret sur le terrain auprès des plus vulnérables.
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