Révolue est l'époque où Donald Trump pouvait roter ses humeurs jusqu'à la présidence sur les réseaux sociaux. Voilà presque 3 ans que l'ancienne administration de Twitter a banni Trump dans la foulée de l'insurrection au Capitol. Depuis, Facebook, Instagram, Youtube ont fait de même. Pire, plus de 90 accusations criminelles pèsent sur lui devant la cour. Dans la dernière année le troll Elon Musk a levé la suspension à vie de l'olibrius et lui a tendu la main, comme il le fait pour tous les désorientés mentaux. Outre une photo d'identité judiciaire très amusante le montrant comme un enfant s'étant fait prendre à piger dans la tirelire familiale, il n'est pas revenu sur "beautiful account" Twitter devenu X.
Ce serait avouer que le réseau social qu'il a fondé en parallèle pour rivaliser contre Twitter, "Truth", est un échec.Mais Truth est un échec.
Pour lire la diahrée verbale que lance le narcissique qui, jamais n'en lira les commentaires, (l'important est de lancer sa merde dans les ventilateurs) il faut être membre du réseau Truth. La vraie viande des théories conspirationistes, de la science instinctive, de l'invective raciste, de l'insulte libertarienne, c'est sur Truth (et maintenant Twitter/X) qu'il faille se rendre. Ses immaturités lui ont valu une suspension, un gag order, le mois dernier.

Mais les chiffres sont sortis quand même, parce que Donald Trump est une douille. Il a sommé le journal Hollywood Reporter de se rétracter quand celui-ci a dit que les pertes de Truth étaient de l'ordre de 73 millions. Ajoutant qu'elles n'étaient QUE DE 60,5 millions. Thank you, Ding Dong.


Le sites d'extrême droite qui avaient juré durer longtemps passé Trump, Gettr, Parler ou Gab, sont tous morts et enterrés. Le mollusque Musk, ainsi que l'ancienne conseillère de Trump, Linda Yaccarino, maintenant patronne éxécutive de Twitter/X, on fait de ce réseau un "safe space" pour les misogynes et racistes, les discriminateurs et les lézards comme Donald. Ils font même obstruction à ses émules comme Ron DeSantis ou Vivek Ramaswamy.


Il y a les citoyens et les netoyens. Donald se magasine des netoyens.
Mais quel site l'hébergerait ? Truth, il l'a fait naitre. Il peut se jouer de toutes les régles, c'est son bébé.
Bientôt jeté avec l'eau du bain.
