Microsoft veut suivre le comportement des joueurs pour de meilleurs jeux

Microsoft souhaite suivre le comportement de jeu de ses utilisateurs afin de développer et de publier de meilleurs jeux. C’est ce que révèle un nouveau brevet qui vise à suivre les événements du jeu.

Microsoft : suivre le comportement du jeu est envisageable

Même si Microsoft a manqué de véritables points forts du jeu au cours de l’année de jeu 2022, le forfait de jeu Xbox Game Pass marque une innovation importante dans son domaine – et, selon les rumeurs, pourrait, oui, déjà être étendu sous peu pour inclure un abonnement promotionnel et familial.

Maintenant, un autre brevet a apparemment été déposé pour suivre le comportement du jeu afin de déterminer comment les joueurs réagissent à certains événements du jeu. Comme le rapporte le site Gamerant, Microsoft a déposé un nouveau brevet à cet effet.

Plus précisément, il s’agit d’un système de suivi et de reporting des événements dans le jeu qui peut être utilisé pour suivre divers progrès tels que les montées de niveaux, les statistiques de victoire ou, par exemple, la fréquence à laquelle le titre est mis en pause pendant la lecture. La fréquence des bugs qui surviennent pourrait également être enregistrée, selon le brevet.

• En savoir plus: Microsoft accuse Sony de saboter le Xbox Game Pass

Système de suivi pour les joueurs d’esport

Pourtant, le système de suivi pourrait être appliqué à un large éventail de jeux sur toutes les plateformes, y compris les jeux PC, consoles et mobiles. Les joueurs compétitifs d’Esports en bénéficieraient particulièrement grâce à des statistiques complètes qui fournissent des informations sur les victoires et les défaites, les montées de niveau ou les temps de jeu, par exemple.

Cela correspond à un autre système dont Gamerant avait fait état à la mi-décembre 2022, et que Microsoft souhaite apparemment utiliser pour analyser les compétitions Esports.

Selon le brevet, le nouveau système de suivi ne devrait pas surcharger la bande passante des utilisateurs ni les ressources locales, mais s’appuyer plutôt sur la capacité du cloud computing. Cela ne nécessiterait pas non plus d’accéder au logiciel, au code source ou aux signaux de titres spécifiques. Cependant, on ne sait toujours pas exactement comment Microsoft mettra finalement en pratique le nouveau système.