Pourquoi j’aime tant les films de Robert Guediguian parce que nous les avons aimé avec une de mes meilleures amies, partagé 50/50… a une époque où elle qui avait 20 ans de moins que moi découvrait boulimique tout le cinéma et où nous allions ensemble aux cours de Jean Douchet.Parce que c’est un amoureux éperdu de l’humain qui passait par là…. Aimanté à celui qui a honte de ne pas avoir, de ne pas savoir, ou qui révolté désespéré, ne se tait plus….etc. Par le cinéma par votre route quelqu’il soit… arménien marseillais en priorité….malgré toutes les contradictions les paradoxes dont nous sommes issus. Accueil hospitalité. Rien n’est fini tout commence. Avec des poètes aveugles qui entendent tout…..Et si on commençait par se re-parler et par faire autre chose que des discours inintelligibles….non offerts à celui qui passait par là…On apprend plein de choses ou on les réapprend dans ce film. A lire relire adresser des lettres des cartes postales avec des citations comme celle là « Déjà essayé. Déjà échoué. Peu importe. Essaie encore. Échoue encore. Échoue mieux. » La plus connue avec celle « Nous naissons tous fous, certains le demeurent. » Il ne donne pas le nom de l’auteur car ce qu’il souhaite c’est que nous sortions tous dans la rue avec un livre dans la poche pour attendre dans un coin de paysage. J’ai dit à mon compagnon et si on allait à Marseille…. -C’est un film feel god pour anciens gauchos bobos ? -C’est un film d’espoir un peu romantique et les scènes sont belles d’amour entre vieux ! J’y ai cru Et on devrait faire du théâtre partout car pour faire du théâtre il faut échouer encore échouer mieux et lire travailler écrire se documenter LIRE OBSERVER et aller voir les autres partout quelqu’ils soient pour jouer danser faire de la musique….avec eux ré-aimer le collectif.
Pourquoi j’aime tant les films de Robert Guediguian parce que nous les avons aimé avec une de mes meilleures amies, partagé 50/50… a une époque où elle qui avait 20 ans de moins que moi découvrait boulimique tout le cinéma et où nous allions ensemble aux cours de Jean Douchet.Parce que c’est un amoureux éperdu de l’humain qui passait par là…. Aimanté à celui qui a honte de ne pas avoir, de ne pas savoir, ou qui révolté désespéré, ne se tait plus….etc. Par le cinéma par votre route quelqu’il soit… arménien marseillais en priorité….malgré toutes les contradictions les paradoxes dont nous sommes issus. Accueil hospitalité. Rien n’est fini tout commence. Avec des poètes aveugles qui entendent tout…..Et si on commençait par se re-parler et par faire autre chose que des discours inintelligibles….non offerts à celui qui passait par là…On apprend plein de choses ou on les réapprend dans ce film. A lire relire adresser des lettres des cartes postales avec des citations comme celle là « Déjà essayé. Déjà échoué. Peu importe. Essaie encore. Échoue encore. Échoue mieux. » La plus connue avec celle « Nous naissons tous fous, certains le demeurent. » Il ne donne pas le nom de l’auteur car ce qu’il souhaite c’est que nous sortions tous dans la rue avec un livre dans la poche pour attendre dans un coin de paysage. J’ai dit à mon compagnon et si on allait à Marseille…. -C’est un film feel god pour anciens gauchos bobos ? -C’est un film d’espoir un peu romantique et les scènes sont belles d’amour entre vieux ! J’y ai cru Et on devrait faire du théâtre partout car pour faire du théâtre il faut échouer encore échouer mieux et lire travailler écrire se documenter LIRE OBSERVER et aller voir les autres partout quelqu’ils soient pour jouer danser faire de la musique….avec eux ré-aimer le collectif.