Ce matin, alors que je râlais une fois de plus en découvrant ces images là :
une sage amie m'a fait cette remarque :
"bon d'accord tu n'as pas tort mais...au moins elles sont là, tu comprends ? "
Le Hijab devient donc, paradoxalement, un instrument de leur "liberté".
D'accord, d'accord.
Je dois m'y faire....
Mais pour la natation alors ?
Bon d'accord je sors.
Et si nous parlions de S. de C. de R. de K. et du D.L?
pour changer ?
Toujours ce matin, j'en fais des trucs le matin moi c'est fou,
je me suis délectée de ce savoureux résumé, fait par Jean Marie Thénard du Canard Enchainé, de l'épisode Dalaï Lama au Pays des Fromages qui Puent
(un petit copié-copié de mes blanches mains pour ceux qui n'achètent pas Le Canard et qui devraient....)
"Sarko, à qui Pékin ne dicte pas son agenda, commence par décliner une rencontre, le 6 aout, avant-veille, des Jo. Croyant consoler sa Sainteté, il lui accorde un rendez-vous avec son épouse à l'occasion de l'inauguration, le 22 aout à Lodève, d'un temple boudhique.(...)
Mais se faire remplacer par sa femme au pays des droits de l'homme et refuser de prendre le thé avec un Nobel de la Paix quand on prétend arrêter la guerre dans le Caucase ça la fiche mal.
Sarko se rattrape et promet une semaine plus tard de recvoir le Tibétain à Paris, le 10 décembre, noyé parmi d'autres NObel. Décembre, ça laisse le temps de voir. Las, le dalaï fait savoir qu'à cette date il sera en Hollande. A moins que ce ne soit en Pologne. Le Saint homme est patient, mais il faut pas trop le chauffer.
Rama Yade, elle, se souvient en découvrant l'avis de recherche lancé, le 13 aout par le "Canard", qu'elle est secrétaire aux Affaires Etrangères. Elle se dit prête à recevoir l'homme en robe orange, lequel ne relève même pas. Il est vrai que son "ami" Kouchner vient de lui téléphoner pour lui proposer de le voir, (...). Rendez-vous est pris pour le 20. Mais dans le JDD, trois jours plus tard, le ministre annule :: "le 20, je ne peux pas. " Officiellement, le Caucase l'appelle.
Comme dit le proverbe tibétain : "quand ça veut pas, ça veut pas."
Mais Kouchner rechange d'avis, le 18, et annonce qu'il accompagnera Bruni Carla à Lodève.
Ce n'est plus un ministre mais un derviche tourneur.
Cavalier de Carla, bel aboutissement pour un homme d'ouverture aux ordres d'un Sarko versatile.
Lequel, du coup, a aussi autorisé Rama Yade à se joindre au couple.
Résultat, le pauvre Dalaï a bien senti qu'il dérangeait. (..)"
Monsieur Lama, je vous souhaite bien du plaisir....nous vous envoyons le meilleur de nous mêmes.
(et comme toutes les excuses sont bonnes pour vous montrer un bout de ma sculturale anatomie, et parce-que à moi il faut pas me dire "cachez ce sein que je ne saurais voir", je suis d'un naturel contrariant et buté, on me dit de faire un truc je fais l'opposé, la preuve je me suis mise à fumer et à me baigner sans chapeau ni crème solaire)...