Aeronautical Center of Technology students launch a rocket on Thursday in Greenwood. Noah Crenshaw | Daily Journal
" href="https://dailyjournal.net/wp-content/uploads/2023/11/132259655_web1_20231114dj-rocket-launch-1.jpg" target="_blank" rel="noopener">Les étudiants du Centre de technologie aéronautique lancent une fusée jeudi à Greenwood. Noé Crenshaw | Journal quotidien
En appuyant sur un bouton, des semaines de travail acharné se sont envolées haut dans le ciel.
La première fusée s’est élevée à près de 200 pieds dans le ciel en quelques secondes, avec une traînée de fumée derrière elle. Une fois qu’il a atteint son altitude maximale, un parachute s’est déployé et il a flotté jusqu’au champ agricole de la campagne de Greenwood en contrebas jeudi après-midi.
Ensuite, deux étudiants ont couru pour récupérer la fusée tandis qu’une autre équipe se préparait pour le prochain lancement.
En 45 minutes, cinq équipes d’étudiants du Centre de technologie aéronautique de l’aéroport d’Indy South Greenwood ont pu utiliser leurs connaissances acquises au cours de semaines de travail en classe sur le lancement de fusées miniatures. Les lancements font partie du cours Rockets 101 dispensé par Greg Hill, instructeur au centre aéronautique.
Pour le cours, les étudiants ont d’abord commencé à se renseigner sur les quatre forces qui agissent sur une fusée, qui sont similaires à celles qui agissent sur un avion : la portance, la gravité, la poussée et la traînée. Ils ont également découvert les lois de Newton, a déclaré Hill.
Plus tard, on leur a donné des tubes en PVC et du plastique et on leur a dit qu’ils avaient la liberté de concevoir leur fusée comme ils le souhaitaient. Ils se sont ensuite rendus dans un atelier pour découper et concevoir leurs fusées, et ont appris comment garder les ailerons de leurs fusées et comment sécuriser les moteurs, a déclaré Hill.
“Au fur et à mesure que nous progressions, ils ont également découvert les composants d’un moteur de fusée miniature”, a-t-il déclaré. “Il y a un propulseur qui le fait monter, puis il y a une charge à retardement, puis il y a une charge d’éjection, qui est censée repousser les parachutes lorsqu’ils redescendent correctement.”
Avant les lancements de jeudi, les étudiants ont également appris comment fonctionnent les systèmes de lancement et comment lancer des fusées en toute sécurité. Les fusées fabriquées par les étudiants utilisaient un système de lancement mécanique, dont le propulseur était allumé via une batterie électrique après avoir appuyé sur un bouton, a déclaré Hill.
La météo de jeudi était presque parfaite pour les lancements de fusées, même s’il y avait un peu trop de vent, a déclaré Hill. Les fusées de la plupart des étudiants ont été lancées sans accroc, même si la fusée d’une équipe n’a pas pu s’enflammer au bon moment.
Pourtant, c’était une opportunité d’apprentissage.
“Évidemment, quelque chose ne s’est pas déroulé comme prévu, mais comme je lui ai dit au début, parfois on apprend plus de ses échecs que de ses succès”, a déclaré Hill. “Donc, vous concevez pour réussir, et si les choses ne fonctionnent pas comme vous le souhaitez, vous déterminez ce qui n’a pas fonctionné, puis nous revenons en arrière et repensons.”
Jed Allender, dix-huit ans, un étudiant scolarisé à la maison, et Lily Lewen, une étudiante du lycée de Roncalli, ont été les premiers jeudi à lancer leur fusée baptisée Jed Force 1. Allender s’intéresse à l’aviation depuis qu’il est petit. enfant, aimant regarder les avions.
«J’ai toujours voulu être pilote de ligne», a déclaré Allender. « Ainsi, après avoir entendu parler de ce programme, plusieurs personnes différentes se sont dit : « Cela semble être une excellente opportunité ». Nous avons donc pu nous connecter au programme et je suis vraiment heureux d’être ici.
Au début, Allender ne savait pas qu’il existait un cours de fusée, a-t-il déclaré. Il a apprécié d’autres parties du programme du centre aéronautique, notamment la construction d’un avion, la météorologie et tout le travail nécessaire pour devenir pilote, a-t-il déclaré.
“C’est bien plus que ce que vous pensez nécessairement, mais c’est très gratifiant”, a déclaré Allender.
Comme Allender, Melanie Rodriguez, élève du lycée de Greenwood, s’intéresse à l’aviation depuis un certain temps et ne savait pas qu’elle lancerait des fusées dans le cadre du programme. Le jeune homme de 17 ans s’est associé à Preston Matthews, étudiant à Roncalli, pour lancer Jed Force 2, leur fusée qu’ils ont baptisée d’après la fusée d’Allender, déclenchant une tendance des Jed Forces pour le reste de la journée.
Pour Rodriguez, l’ensemble du processus a été amusant, même si elle dit que son équipe a commis quelques erreurs et défis.
“Notre aileron s’est détaché il y a environ une semaine, avant le lancement, nous avons donc dû le remonter très rapidement”, a-t-elle déclaré.
Sean Stahl, 17 ans, a découvert la classe et le centre aéronautique à Roncalli. Il a pensé que ce serait un excellent moyen de s’impliquer davantage dans le transport aérien et l’aviation, tout en obtenant un double crédit, a-t-il déclaré.
« Je suis à moitié japonais. Le japonais de ma mère et mon père étaient en poste au Japon ; ma mère et mon père se sont rencontrés là-bas », a déclaré Stahl. « Chaque année, je traversais le Pacifique à bord de gros avions commerciaux ; faire ça chaque année, grandir quand j’étais enfant, voir les gros jets, m’a simplement poussé à voler.
Stahl, Allender et Rodriguez ont tous encouragé les étudiants intéressés à participer au programme à le faire. Même si les temps peuvent être difficiles si quelqu’un veut vraiment le faire, il doit « s’attacher » et commencer à regarder vers l’avenir, a déclaré Allender.
« Mettez-vous simplement dans l’état d’esprit : « Je veux faire ceci » et profitez de toutes les occasions qui s’offrent à vous pour le faire », a-t-il déclaré.
Stahl a fait écho à un sentiment similaire, affirmant que même ceux qui envisagent à peine de se lancer dans l’aviation devraient tenter toute opportunité qui leur est offerte d’apprendre et d’expérimenter davantage, a-t-il déclaré.
Rodriguez encourage les personnes intéressées à trouver une place et à essayer d’y entrer. Elle pensait qu’il était plus difficile pour les filles comme elle de participer à des programmes comme celui-ci, a-t-elle déclaré.
“Si vous pouvez voir le ratio, comme trois filles et les autres sont des garçons, alors je dirais certainement aux filles de ne pas avoir peur et d’y aller et de voir si elles sont vraiment intéressées”, a déclaré Rodriguez.
Le semestre prochain, les étudiants lanceront à nouveau des fusées, mais via un système de lancement contrôlé par ordinateur. Comme son nom l’indique, les étudiants apprendront à utiliser un logiciel informatique pour lancer des fusées.
“Nous allons donc lancer notre logiciel et nous resterons en retrait”, a-t-il déclaré. “Ils n’ont pas besoin d’appuyer sur des boutons et l’ordinateur prendra le relais, un peu comme ce que fait la NASA.”
Pour en savoir plus sur le cours, Hill indique que les parties intéressées peuvent contacter l’Aviation Center for Technology en allant en ligne sur aerotechcenter.org.
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