Je dois à Madonna* ce séjour à Paris. Entre le train, l'hôtel, les sorties (expo Mark Rothko à la Fondation LV, déjeuners, dîners, apéros, théâtre (Lapin avec Muriel Robin & Pierre Arditi ; Une idée géniale de l'ex-camarade de classe et irrésistible Sébastien Castro au théâtre Michel, Molière comédie de l'année et Molière meilleure comédienne dans un second rôle), Jakob Lena Knebl et Ashley Hans Scheirl au Palais de Tokyo) et j'en passe des impromptus, j'ai cassé ma tirelire. Fan de la presque première heure (je débarquais de ma campagne à 17 ans pour mon premier concert à Bercy, en 1991, laissant ma mère et ma sœur à l'hôtel pendant que je découvrais, extatique, le phénomène Madonna), je ne voulais pas louper l'événement, la tournée 2023 (démente pour le peu que j'ai vu) célébrant les 40 ans de carrière de l'artiste (n'en déplaise aux haters, j'utilise à dessein le terme d'artiste et je ne vais pas argumenter, je ne voudrais pas vous perdre en cours de lecture).
Armé de mon thermos de café, de mon partage de connexion (j'ai opté pour un nom de wifi un peu taquin : "On dit LE wifi et pas LA wifi", pour les curieux autour de moi), j'écris ce billet au fil du voyage qui me mène à Paname.
Vous constaterez, observant la photo illustrant ce billet, qu'il pleut parfois à Marseille. Sur le quai de la gare, la gamine pressée tient la capuche de son anorak rouge. Elle s'exclame : bonjour. café., cœur rouge en lieu et place du j de bonjour dessiné au stylet sur mon téléphone. Mais à son âge, prend-elle seulement du café ? Un chocolat chaud peut-être.
Pardon aux fans de Madonna qui ont échoué ici à la faveur d'une requête Google, j'attrape le chaland comme je peux. Bienvenue aux nouveaux lecteurs ❤️
To be continued...
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