Préoccupations alarmantes chez les scientifiques à propos des vaccins à ARNm contre la Covid-19 de Pfizer et Moderna. Kevin McKernan généticien de renommée internationale, a accidentellement découvert en étudiant certains échantillons que ces vaccins contenaient des fragments d'ADN plasmidique. Un article de FranceSoir.
N.D.L.R
Ce qui est grave dans l'état actuel des choses c'est que les laboratoires et les gouvernements ont tellement menti dans cette affaire, tellement de milliards ont été dépensés par les uns et encaissés par les outres, que désormais même si des scientifiques mondialement connus découvrent des « anomalies » plus qu'inquiétantes sur les effets de ces vaccins, ils sont d'autorité blacklistés. Ce qui veut dire, entre autres mais c'est quand même le plus important, que les personnes que ces effets ont rendu malade auront le plus grand mal à seulement se faire soigner.
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Résumé par ChatGPT
● Le généticien Kevin McKernan a découvert par accident des fragments d'ADN plasmidique dans ces vaccins, bien au-dessus des limites réglementaires.
● De plus, un promoteur du gène SV40 a été détecté, éveillant des inquiétudes quant à son impact sur le génome des personnes vaccinées. Des experts craignent des conséquences à long terme, comme des maladies auto-immunes ou des cancers. Des appels à des recherches urgentes ont été lancés pour évaluer ces risques.
● Des problèmes de réglementation en Australie sont également soulevés, avec des actions en justice contestant la position de l'Administration des produits thérapeutiques. Les vaccins pourraient être considérés comme des organismes génétiquement modifiés. Les enveloppes lipidiques du vaccin suscitent également des préoccupations sur leur potentiel impact génétique.
● Ces inquiétudes ont provoqué des débats sur la sécurité et la réglementation des vaccins à ARNm, soulignant la nécessité de recherches approfondies pour évaluer les risques pour la santé des vaccinés.