Je ne rejoindrai plus aucun groupe virtuel, je ne signerai plus de pétitions. L’ATI (Agence Tunisienne de l’Internet, gendarme attitré de la surveillance et des censures qui s’en suivent sur la toile locale, non pas en Chine) a une adresse, tout le monde sait ou elle est logée. Pour vous inspirer regardez du coté des « Folles de la place de Mai » en Argentine. Chacun de nous perd quelque chose de cher avec ces espaces de liberté qui disparaissent l’un après l’autre. Je n’ai pas de conseil à donner, des recommandations à faire, à chacun de voir, mais de grâce arrêtons ces jérémiades virtuelles…