Lorsque j’ai déposé Juste avant le bonheur, d’Agnès Ledig, à Niederhaslach (Non loin de la Collégiale Saint-Florent), j’en ai profité pour regarder plus en détail leur boîte à livres. J’ai choisi : La maison du sommeil de Jonathan Coe. Ce livre a reçu le prix Médicis étranger en 1998.
Je lis donc la 4ème de couverture :
De bien curieux événements se déroulent à Ashdow, inquiétante demeure perchée sur une falaise des côtes anglaises. Naguère, c’était une résidence universitaire, où se sont croisés Sarah la narcoleptique, Gregory le manipulateur, Veronica la passionnée, Robert l’amoureux transi, Terry le cinéphile fou.
Leurs destins ont divergé, mais les spectres du passé continuent de hanter Ashdown, devenue une clinique où le sinistre docteur Dudden se livre à de monstrueuses expériences sur les troubles du sommeil. Par quelles mystérieuses coïncidences tous les personnages vont-ils s’y retrouver ? Et quelles transformations vont-ils subir ?
Une fresque foisonnante et rigoureuse, où l’illusion amoureuse va jusqu’à l’extrême limite de sa réalisation, et où la vérité sort toujours des rêves.
Un livre surprenant par sa trame narrative. La première concerne les chapitres impairs dont les évènements se déroulent dans les années 1983-1984. La seconde concerne les chapitres pairs se déroulant en juin 1996. Le puzzle narratif se fait par les bords et par le milieu. Les pièces intermédiaires arrivent au fur et à mesure.
J’avoue avoir eu un petit moment de flottement, vers les 2/3 du roman, en me demandant où l’histoire allait m’emmener. Heureusement, un élément inattendu est arrivé pour me donner envie de terminer rapidement ce livre.
Vous connaissez ?
éé