La toile le pinceau
en touches de lumière
les couleurs légères
pour un émerveillement perpétuel.
Au creux du corps
première solitude
l’écriture lumière
transfigure la parole errante.
Ghislaine Lejard
Partager cet article Repost0 &version; Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous : Vous aimerez aussi : Vivantes Nous dormirons ensemble Les trente-trois noms de Dieu Je suis comme je suisPoètes d'aujourd'hui
« Article précédent