Bonjour les Nautes!
Aujourd’hui, on va parler film feel-good, film mignon tout plein, personnages méga attachants et, en gros, que de trucs positifs…
J’avais envie de discuter de The Terminal, alors venez me rejoindre! On spoile un peu!
Synopsis
Viktor, un citoyen krakhozien, se rend à New-York pour raisons mystérieuses. Alors qu’il débarque de l’avion à JFK, son pays se déclare en guerre civile. Désormais apatride, Viktor ne peut plus sortir du terminal de l’aéroport, qui devient alors sa nouvelle maison…
Krakhozia!
The Terminal s’inspire d’une histoire vraie, celle de Mehran Nasseri, un ressortissant iranien obligé de vivre dans l’aéroport Charles de Gaulle de Paris pendant pas moins de 18 ans (ce qui est méga dingue, on est d’accord).
Une histoire qui peut inspirer, on est d’accord, d’autant qu’un terminal est avant tout une ville dans la ville, entre magasins duty-free, restaurants, douanes et autres toilettes. Alors, comment peut-on y vivre décemment sans perdre la boule?
Steven Spielberg, en qui j’ai totalement confiance, a décidé de prendre l’affaire côté comédie, et cela fonctionne du tonnerre. Les péripéties de Viktor sont plus que souvent drôles, la plupart du temps touchantes, toutes super.
L’une de mes scènes préférées, d’ailleurs, est sans nul doute celle où il décide sur un coup de tête de finir une frise délaissée par les équipes de chantier, et passe la nuit à bricoler. Mon héros. XD (Quoique, la scène des caddies où il récupère des pièces de 25 cents pour aller chez Burger King me parle aussi. Burger King, c’est la vie.
Les personnages qu’il rencontre, si au départ un peu distants, deviennent sa famille, et cela fend le cœur, finalement, de le voir les quitter pour toujours.
Alors évidemment, j’ai un faible certain pour Enrique et Dolores, les amoureux geek à travers les plateaux repas, mais ils sont tous succulents. Finalement, le seul personnage qu’on peut ne pas aimer, c’est celui d’Amelia qui, en plus de ne pas servir à grand-chose sauf à être jolie, brise le cœur de notre héros et ça, c’est pas bien.
A côté, Dixon est un ange. XD
Heroic cast
Allez, parlons des trombinettes qu’on rencontre au fil de la pellicule.
Tom Hanks (Polar Express) incarne donc Viktor avec la tendresse naturelle qu’on lui connait, cette douceur et gentillesse qui lui colle à la peau depuis le début de sa carrière. Trop de love.
Il a pour acolytes les trop choupi Diego Luna (Andor); Zoë Saldaña (Star Trek) qui fait une référence à peine dissimulée à son rôle dans lesdits Star Trek en annonçant qu’elle va aux ComicCon habillée en Uhura (je t’aime Zo
Il rencontre également sur son chemin Catherine Zeta-Jones (The Mask of Zorro), sublime comme toujours même si son personnage est à mon sens un peu inutile…
Et puis, côté immigration, nos ‘méchants’ auront les têtes du génialissime Stanley Tucci (Burlesque) et du non moins génial Barry Henley (Rush Hour).
En résumé, The Terminal est plus que feel-good, se regarde encore et encore sans mal vieillir, et en gros, fait partie de ces films-doudous.
Notes
Bigregirl: 8,75/10
Rotten Tomatoes: 6,1/10
Allôciné: 7,6/10
Note moyenne: 7,4/10
Bandes annonces
Fiche technique
Titre: The Terminal
Réalisateur: Steven Spielberg
Scénaristes: Sacha Gervasi, Jeff Nathanson
Producteurs: Laurie MacDonald, Walter F. Parkes, Steven Spielberg
Société de distribution: DreamWorks
Musique: John Williams
Durée: 128 minutes
Rating: PG-13 (interdit aux moins de 12 ans)
Langue originale: Anglais