Plusieurs problèmes : l'immeuble n'était pas desservi par le gaz, et le retraité était, en réalité, un redoutable parrain de la mafia, caché là depuis longtemps. Malgré ses deux gardes du corps, il a été assassiné de façon surprenante : on l'a transpercé avec une corne de narval aiguisée.
Sur les films de vidéosurveillance figure une suspecte : une très jolie femme que l'on voit entrer dans l'immeuble. Mais la caméra de l'appartement du parrain est tombée en panne, et on ne voit pas la femme le tuer. De plus, les gardes du corps ne l'ont pas aperçue, et elle bénéficie d'alibis qui l'innocentent.
Enfin, un spécialiste affirme que le film a été truqué. Le parrain bénéficiant de hautes protections, Higgins doit enquêter seul, sans autre aide que celle des membres de son club archéologique. Peu à peu, il identifie les membres d'un gang mafieux, formant une dangereuse association de malfaiteurs.
Higgins découvre aussi l'identité de la principale suspecte, Blancheflore La Vista, qui vit seule dans un palais isolé. Elle travaille à une tapisserie qui prolongerait celles de la célèbre Dame à la licorne. Pourquoi est-elle mêlée à cette affaire ? Aurait-elle supprimé un monstre ?
Entre elle et Higgins se noue une relation particulière, jusqu'à l'obtention d'une douloureuse vérité.
Éditions XO/Éditions J
« May FlyLe fils du père »