au faciès étrangement ressemblant... au peintre. Humour et fantaisie d'Herve Gloux s'inventant un ascendant flibustier, avec une devise Ar lezenn dre ar bouc'hal la loi par la hache, aux intentions très peu pacifiques , qui rappelle neanmoins les armoiries de la cité de Konk kerne : trois haches d'armes de gueules posées en pal et rangées en fasce (Armoiries des villes de Bretagne, Michel Froger). La signature dont le sens m'échappe encore devait cacher une autre drôlerie.
Une huile sur Isorel de grand format qui enfant me fascinait puisque j'ai vu bâtir le personnage alors aussi grand que moi en 1975. Le marin hautement décoré et certainement anobli garde ceintres et manteaux en fond de placard.