La science et la technologie sont un domaine dynamique qui évolue et se développe constamment, mais dans un aspect, il semble rester stagnant et c’est la disparité entre les sexes qui existe à ce jour. Aujourd’hui encore, seul un scientifique sur trois (33 %) est une femme, comme le rapporte un Rapport scientifique de l’UNESCO 2021. Cela cause non seulement des dommages durables aux femmes à court terme, mais entrave également le développement des sociétés, l’innovation, et plus encore, à long terme.
Voyons pourquoi les femmes sont si sous-représentées dans les disciplines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STEM). Le faible engagement des filles et des femmes dans les sciences peut être attribué à une myriade de raisons, telles que le stéréotype de genre qui existe depuis des générations dans les ménages et les établissements d’enseignement, selon lequel les garçons sont mieux adaptés aux sciences et plus susceptibles de réussir dans les métiers liés aux STEM. .
Cette croyance amène également les gens à croire que, puisque les carrières dans les STEM sont des domaines fortement dominés par les hommes, elles ne constituent pas un domaine ou un cheminement de carrière approprié pour les femmes. Des attitudes culturelles telles que l’idéologie selon laquelle investir dans l’éducation d’un garçon plutôt que dans celle d’une fille l’éducation serait plus bénéfique et donnerait des rendements plus élevés, est également une autre raison pour laquelle les filles perdent systématiquement la possibilité d’étudier.
Les conséquences de ces stéréotypes et attitudes culturelles sont désastreuses, car elles privent les femmes des opportunités économiques croissantes générées par l’augmentation des économies numérisées. Cela conduit également à des technologies nuisibles telles que des algorithmes qui discriminent les femmes à la recherche d’un emploi.
Ils privent les filles du droit fondamental à l’éducation, car Article 21-A et le Loi sur le droit des enfants à l’enseignement gratuit et obligatoire (RTE) entrée en vigueur le 1er avril 2010 stipulent. Ces Actesapporter ‘gratuit et obligatoire‘ l’éducation pour tous les enfants âgés de six à quatorze ans, ce qui en fait un droit fondamental. La dispense actuelle au pouvoir a commencé une autonomisation des femmescampagne nommé “Beti Bachao Beti Padhao» en 2015 pour aborder la scolarisation des filles.
Une façon contemporaine de lutter pour la parité entre les sexes serait d’utiliser la technologie numérique. Technologie digitalepeut réduire l’écart entre les sexes en améliorant l’accès aux services sociaux, aux services financiers, à l’identification et à l’information. Les femmes peuvent accéder plus facilement aux subventions et aux prêts si elles tentent de les obtenir par transfert numérique, car elles peuvent éviter les normes sociales qui peuvent constituer des obstacles tels que l’attitude partagée par de nombreux ménages selon laquelle un homme devrait contrôler les finances d’une femme. Éviter cela autonomise financièrement les femmes
Cependant, il ressortait clairement des publicités diffusées que le message de la misogynie plutôt que celui de l’égalité était propagé. L’annonce “Kaise khaoge unke haath ki rotiya, jabpaida hone nahi doge betiyan” Se traduit par “Comment mangerez-vous le pain de leurs mains, quand vous ne laisserez pas naître de filles”. La publicité semble prôner les rôles de genre traditionnels, plutôt que la prévention du foeticide féminin et la facilitation de l’égalité pour les filles et les femmes.
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La approche adoptée par le Mexique qui s’avère prometteur est de fournir aux élèves du secondaire ainsi qu’à leurs parents des informations concernant l’énorme demande d’emplois STEM et la rémunération monétaire pour ceux-ci. Lorsqu’ils sont en possession de ces informations, les inquiétudes quant à savoir si une telle carrière convient à une femme ont tendance à s’évaporer.
UN étude par le Évaluations nationales et analyse comparative du genre, de la science, de la technologie et de l’innovation a évalué le niveau de soutien, les opportunités et la participation des femmes à la science dans différents pays du monde comme l’Union européenne, les États-Unis, le Brésil, l’Afrique du Sud, l’Inde, la Corée et l’Indonésie. L’étude a révélé qu’il existe une inégalité des chances, car les femmes ont moins accès aux ressources telles que l’éducation, la technologie, le financement, etc., ce qui affecte finalement leur employabilité.
A lire aussi : L’effet Matilda : lorsque les femmes dans les STEM sont mises à l’écart en raison de préjugés sexistes
La Forum économique mondialtrouve queles femmes travaillant dans le domaine des sciences et de la technologie ont moins de chances d’accéder à des financements que les hommes. C’est aussi signalé par le revue de Harvard business que les start-ups dirigées par des femmes n’ont reçu que 2,3 % du capital-risque, en 2020. L’étude indique également que les femmes de pays qui les traitent comme des citoyens de seconde zone et les considèrent comme de statut social inférieur, doivent par conséquent faire face à des désavantages dès le début de leur vie et ont tendance à avoir des soins de santé insuffisants.
L’étude précise en outre que même lorsque les femmes suivent des programmes en science et technologie, environ 30 % d’entre elles abandonnent en raison d’un manque de flexibilité pour les heures de travail et la garde des enfants. Sophie Huyer, déclare : «Les femmes ont une plus grande parité dans les pays où les politiques gouvernementales soutiennent la garde des enfants, l’égalité de rémunération, le travail flexible et l’intégration du genre.”
Avoir la parité entre les hommes et les femmes dans les domaines STEM serait bénéfique pour tout le monde. Comme selon le Institut européen pour l’égalité entre les hommes et les femmes,réduire l’écart entre les sexes qui existe dans les STEM entraînerait une augmentation de l’emploi de 850 000 dans l’UE d’ici 2050. Une étude du Fond monétaire international constaté que les femmes apportent de nouvelles compétences sur le lieu de travail ; qui non seulement augmente les avantages économiques pour tous, mais augmente également les salaires des hommes
De tels changements pourraient aider à atteindre l’égalité des chances et de représentation. Les économies ont été classées en fonction de l’égalité des sexes, l’étude a pris en compte la santé, le statut social et économique, l’accès aux ressources et les opportunités ; les politiques sociétales telles que la garde d’enfants, l’égalité de rémunération, les horaires de travail flexibles ; et la participation à la prise de décision. Compte tenu de tous ces facteurs, l’Inde s’est classée au dernier rang. Ce résultat peut être attribué au faible statut éducatif et social des femmes dans le pays.
Une façon contemporaine de lutter pour la parité entre les sexes serait d’utiliser la technologie numérique. Technologie digitalepeut réduire l’écart entre les sexes en améliorant l’accès aux services sociaux, aux services financiers, à l’identification et à l’information. Les femmes peuvent accéder plus facilement aux subventions et aux prêts si elles tentent de les obtenir par transfert numérique, car elles peuvent éviter les normes sociales qui peuvent constituer des obstacles tels que l’attitude partagée par de nombreux ménages selon laquelle un homme devrait contrôler les finances d’une femme. Éviter cela autonomise les femmes financièrement.
L’identification est également un moyen d’atteindre plus d’indépendance en tant que possession d’un document reconnu par le gouvernement qui permet à une femme d’accéder à des services financiers, de lutter pour ses droits légaux et de revendiquer des mandats promis par le gouvernement pour ses enfants ou pour elle-même.
Les médias sociaux peuvent également être un moyen d’améliorer les droits de l’homme grâce à la technologie. De nombreux mouvements sociaux tels que Moi aussi, IlPourElle et autres, ont eu des effets significatifs et de grande envergure pour tout le monde. Les forums Cyber-feminsit sont capables de mobiliser des personnes à travers le monde à l’aide de diverses plateformes numériques pour aborder les agendas féministes intersectionnels, complexes et variés qui mettent en lumière le sort des femmes et des moyens ingénieux d’aborder et de résoudre les préjugés sexistes systémiques.
L’activisme numérique a ses avantages tels qu’être rapide, bon marché et briser les barricades et accroître l’accessibilité aux individus puissants et influents. Cependant, la promotion de la liberté d’expression s’accompagne souvent de discours de haine importuns tels que des préjugés, un langage qui divise, le blâme des victimes et plus encore.
Avoir la parité entre les hommes et les femmes dans les domaines STEM serait bénéfique pour tout le monde. Comme selon le Institut européen pour l’égalité entre les hommes et les femmes,réduire l’écart entre les sexes qui existe dans les STEM entraînerait une augmentation de l’emploi de 850 000 dans l’UE d’ici 2050. Une étude du Fond monétaire international constaté que les femmes apportent de nouvelles compétences sur le lieu de travail ; cela non seulement augmente les avantages économiques pour tous, mais augmente également les salaires des hommes.
A lire aussi : Mansplaining in Classrooms: La coercition systémique des femmes au silence et au doute d’elles-mêmes
Source de l’image en vedette : Temps de l’Hindoustan
La science et la technologie sont un domaine dynamique qui évolue et se développe constamment, mais dans un aspect, il semble rester stagnant et c’est la disparité entre les sexes qui existe à ce jour. Aujourd’hui encore, seul un scientifique sur trois (33 %) est une femme, comme le rapporte un Rapport scientifique de l’UNESCO 2021. Cela cause non seulement des dommages durables aux femmes à court terme, mais entrave également le développement des sociétés, l’innovation, et plus encore, à long terme.
Voyons pourquoi les femmes sont si sous-représentées dans les disciplines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STEM). Le faible engagement des filles et des femmes dans les sciences peut être attribué à une myriade de raisons, telles que le stéréotype de genre qui existe depuis des générations dans les ménages et les établissements d’enseignement, selon lequel les garçons sont mieux adaptés aux sciences et plus susceptibles de réussir dans les métiers liés aux STEM. .
Cette croyance amène également les gens à croire que, puisque les carrières dans les STEM sont des domaines fortement dominés par les hommes, elles ne constituent pas un domaine ou un cheminement de carrière approprié pour les femmes. Des attitudes culturelles telles que l’idéologie selon laquelle investir dans l’éducation d’un garçon plutôt que dans celle d’une fille l’éducation serait plus bénéfique et donnerait des rendements plus élevés, est également une autre raison pour laquelle les filles perdent systématiquement la possibilité d’étudier.
Les conséquences de ces stéréotypes et attitudes culturelles sont désastreuses, car elles privent les femmes des opportunités économiques croissantes générées par l’augmentation des économies numérisées. Cela conduit également à des technologies nuisibles telles que des algorithmes qui discriminent les femmes à la recherche d’un emploi.
Ils privent les filles du droit fondamental à l’éducation, car Article 21-A et le Loi sur le droit des enfants à l’enseignement gratuit et obligatoire (RTE) entrée en vigueur le 1er avril 2010 stipulent. Ces Actesapporter ‘gratuit et obligatoire‘ l’éducation pour tous les enfants âgés de six à quatorze ans, ce qui en fait un droit fondamental. La dispense actuelle au pouvoir a commencé une autonomisation des femmescampagne nommé “Beti Bachao Beti Padhao» en 2015 pour aborder la scolarisation des filles.
Une façon contemporaine de lutter pour la parité entre les sexes serait d’utiliser la technologie numérique. Technologie digitalepeut réduire l’écart entre les sexes en améliorant l’accès aux services sociaux, aux services financiers, à l’identification et à l’information. Les femmes peuvent accéder plus facilement aux subventions et aux prêts si elles tentent de les obtenir par transfert numérique, car elles peuvent éviter les normes sociales qui peuvent constituer des obstacles tels que l’attitude partagée par de nombreux ménages selon laquelle un homme devrait contrôler les finances d’une femme. Éviter cela autonomise financièrement les femmes
Cependant, il ressortait clairement des publicités diffusées que le message de la misogynie plutôt que celui de l’égalité était propagé. L’annonce “Kaise khaoge unke haath ki rotiya, jabpaida hone nahi doge betiyan” Se traduit par “Comment mangerez-vous le pain de leurs mains, quand vous ne laisserez pas naître de filles”. La publicité semble prôner les rôles de genre traditionnels, plutôt que la prévention du foeticide féminin et la facilitation de l’égalité pour les filles et les femmes.
Les médias féministes ont besoin d’alliés féministes !
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La approche adoptée par le Mexique qui s’avère prometteur est de fournir aux élèves du secondaire ainsi qu’à leurs parents des informations concernant l’énorme demande d’emplois STEM et la rémunération monétaire pour ceux-ci. Lorsqu’ils sont en possession de ces informations, les inquiétudes quant à savoir si une telle carrière convient à une femme ont tendance à s’évaporer.
UN étude par le Évaluations nationales et analyse comparative du genre, de la science, de la technologie et de l’innovation a évalué le niveau de soutien, les opportunités et la participation des femmes à la science dans différents pays du monde comme l’Union européenne, les États-Unis, le Brésil, l’Afrique du Sud, l’Inde, la Corée et l’Indonésie. L’étude a révélé qu’il existe une inégalité des chances, car les femmes ont moins accès aux ressources telles que l’éducation, la technologie, le financement, etc., ce qui affecte finalement leur employabilité.
A lire aussi : L’effet Matilda : lorsque les femmes dans les STEM sont mises à l’écart en raison de préjugés sexistes
La Forum économique mondialtrouve queles femmes travaillant dans le domaine des sciences et de la technologie ont moins de chances d’accéder à des financements que les hommes. C’est aussi signalé par le revue de Harvard business que les start-ups dirigées par des femmes n’ont reçu que 2,3 % du capital-risque, en 2020. L’étude indique également que les femmes de pays qui les traitent comme des citoyens de seconde zone et les considèrent comme de statut social inférieur, doivent par conséquent faire face à des désavantages dès le début de leur vie et ont tendance à avoir des soins de santé insuffisants.
L’étude précise en outre que même lorsque les femmes suivent des programmes en science et technologie, environ 30 % d’entre elles abandonnent en raison d’un manque de flexibilité pour les heures de travail et la garde des enfants. Sophie Huyer, déclare : «Les femmes ont une plus grande parité dans les pays où les politiques gouvernementales soutiennent la garde des enfants, l’égalité de rémunération, le travail flexible et l’intégration du genre.”
Avoir la parité entre les hommes et les femmes dans les domaines STEM serait bénéfique pour tout le monde. Comme selon le Institut européen pour l’égalité entre les hommes et les femmes,réduire l’écart entre les sexes qui existe dans les STEM entraînerait une augmentation de l’emploi de 850 000 dans l’UE d’ici 2050. Une étude du Fond monétaire international constaté que les femmes apportent de nouvelles compétences sur le lieu de travail ; qui non seulement augmente les avantages économiques pour tous, mais augmente également les salaires des hommes
De tels changements pourraient aider à atteindre l’égalité des chances et de représentation. Les économies ont été classées en fonction de l’égalité des sexes, l’étude a pris en compte la santé, le statut social et économique, l’accès aux ressources et les opportunités ; les politiques sociétales telles que la garde d’enfants, l’égalité de rémunération, les horaires de travail flexibles ; et la participation à la prise de décision. Compte tenu de tous ces facteurs, l’Inde s’est classée au dernier rang. Ce résultat peut être attribué au faible statut éducatif et social des femmes dans le pays.
Une façon contemporaine de lutter pour la parité entre les sexes serait d’utiliser la technologie numérique. Technologie digitalepeut réduire l’écart entre les sexes en améliorant l’accès aux services sociaux, aux services financiers, à l’identification et à l’information. Les femmes peuvent accéder plus facilement aux subventions et aux prêts si elles tentent de les obtenir par transfert numérique, car elles peuvent éviter les normes sociales qui peuvent constituer des obstacles tels que l’attitude partagée par de nombreux ménages selon laquelle un homme devrait contrôler les finances d’une femme. Éviter cela autonomise les femmes financièrement.
L’identification est également un moyen d’atteindre plus d’indépendance en tant que possession d’un document reconnu par le gouvernement qui permet à une femme d’accéder à des services financiers, de lutter pour ses droits légaux et de revendiquer des mandats promis par le gouvernement pour ses enfants ou pour elle-même.
Les médias sociaux peuvent également être un moyen d’améliorer les droits de l’homme grâce à la technologie. De nombreux mouvements sociaux tels que Moi aussi, IlPourElle et autres, ont eu des effets significatifs et de grande envergure pour tout le monde. Les forums Cyber-feminsit sont capables de mobiliser des personnes à travers le monde à l’aide de diverses plateformes numériques pour aborder les agendas féministes intersectionnels, complexes et variés qui mettent en lumière le sort des femmes et des moyens ingénieux d’aborder et de résoudre les préjugés sexistes systémiques.
L’activisme numérique a ses avantages tels qu’être rapide, bon marché et briser les barricades et accroître l’accessibilité aux individus puissants et influents. Cependant, la promotion de la liberté d’expression s’accompagne souvent de discours de haine importuns tels que des préjugés, un langage qui divise, le blâme des victimes et plus encore.
Avoir la parité entre les hommes et les femmes dans les domaines STEM serait bénéfique pour tout le monde. Comme selon le Institut européen pour l’égalité entre les hommes et les femmes,réduire l’écart entre les sexes qui existe dans les STEM entraînerait une augmentation de l’emploi de 850 000 dans l’UE d’ici 2050. Une étude du Fond monétaire international constaté que les femmes apportent de nouvelles compétences sur le lieu de travail ; cela non seulement augmente les avantages économiques pour tous, mais augmente également les salaires des hommes.
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Source de l’image en vedette : Temps de l’Hindoustan
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