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Lucia, Lucia d’Adriana Trigiani

Par Artemissia Gold @SongeD1NuitDete

⭐ Lucia, Lucia d’Adriana Trigiani

Lucia, Lucia d’Adriana TrigianiNombre de pages : 304 pages
Editeur : CHARLESTON EDITIONS
Date de sortie : 7 juin 2017
Collection : Littérature générale
Langue : Français
ISBN-10 : 2368121250
ISBN-13 : 978-2368121252
Prix : 21€
Disponible sur liseuse : OUI

Son résumé :

New York, 1950. À vingt-cinq ans, Lucia Sartori est certainement la plus jolie fille du quartier. L’après-guerre a ouvert de nombreuses possibilités aux jeunes femmes ambitieuses, et Lucia vient de commencer comme apprentie couturière au très chic grand magasin B. Altman sur la 5e Avenue. Son père, qui a brillamment réussi dans les affaires et tient l’épicerie fine italienne la plus réputée, l’a toujours encouragée dans ses ambitions, mais les traditions sont tenaces…

Fiancée à son amour d’enfant, l’inébranlable Dante DeMartino, Lucia est déchirée lorsqu’elle rencontre un bel inconnu qui lui promet une vie de luxe dans les beaux quartiers, une vie comme elle n’en lit que dans les magazines. Forcée de choisir entre sa famille et ses rêves, Lucia se retrouve au centre d’un scandale qui révélera des secrets enfouis. L’honneur des Sartori est en jeu…

⭐ Mon avis :

Lucia, lucia, les mots me manquent pour dire à quel point j’ai été bercée par la plume onctueuse d’Adriana Trigiani.


Lucia Sartori est la plus jolie fille de Greenwich village, fiancée à Dante, le fils du boulanger, elle est promise à un avenir confortable à little italy. Mais Lucia n’est pas qu’un beau visage, elle a des doigts de fée et travaille dans le meilleur atelier de Haute couture de New York. Passionnée de mode, elle rêve d’une vie dorée où elle pourrait restée une femme indépendante. Cependant, dans les années 50 les femmes finissent par se marier, arrêtent de travailler quand elles ont leur premier enfant. A vingt-cinq ans, c’est bientôt le tour de Lucia d’épouser son fils de boulanger d’origine italienne. Arrêter de travailler ? Impossible pour l’indépendante Lucia ! Prise en tenaille entre deux mondes différents, elle rencontre un homme mystérieux et ensorcelant et sera confrontée à la tentation d’une existence qu’elle a toujours rêvée.

Little italy

Dès que j’ai commencé le roman, j’ai été plongée dans la vie de Lucia, avec ses frère tous aussi attachant les uns que les autres, ses parents adorable et traditionnels. L’écriture de l’auteure permet de voir les description avec une acuité époustouflante. J’ai même pleuré en lisant certains passages, tant je m’étais attachée aux personnages et que leurs peines, leurs joies devenaient un peu les miennes. Delmarr, le talentueux couturier, ses amies Ruth, Violet et Helen et le beau John Talbot, pendant ces quelques jours de lecture, j’avais l’impression que ma vie se dédoublait. J’ai lu d’une traite la fin du roman sur la pelouse de ma fac, et j’ai même attrapé des coups de soleil tellement j’étais captivée par ma lecture.

La révolte de Lucia

Lucia est une jeune femme attachante, elle veut pouvoir vivre de sa passion comment elle l’entend et tout au long du roman je me disais qu’elle était née dans la mauvaise époque. Le poids des traditions est si fort dans l’immigration italienne à cette période, heureusement pour Lucia ses parents sont des gens certes traditionnels, mais pas injustes et son père la pousse à être indépendante. Malgré cela,  Elle est seule face au choix cornélien entre penser à elle ou à sa famille. Et je la comprends, il y a un tel amour dans cette famille de l’immigration italienne, ils sont si soudés. Adriana Trigiani a le don de pouvoir décrire l’amour entre les êtres. Et puis, il y avait tout ces petits détails qui faisaient la richesse du roman comme les recettes de cuisines éparpillées pour notre plus grand plaisir :

Les truffes express de Rosemary Sartori

50 cl de glace à la vanille ( ramollie )

12 cerises au marasquin

3 sachets de noix de coco en poudre

2dl de crème épaisse

Pour le chocolat :

500 g de chocolat noir

Mélanger la noix de coco et la crème. Laisser reposer.

Rouler des boules de glace de la taille de balles de baseball. Y enfoncer les cerises au marasquin au centre. Asperger de sauce au chocolat et rouler dans la noix de coco jusqu’à ce que les boules en soient recouvertes. Poser sur une feuille de papier glacé et mettre au congélateur.

Lucia ou la passion de la couture

C’était un bonheur de lire les descriptions de vêtements, et j’ai été enchantée de m’imaginer les merveilleuses robes que Lucia et ses collègues faisaient. A chaque fois que quelqu’un entrait en scène, Lucia faisait la description de ses vêtements comme si la manière de s’habiller faisait partie intégrante de la personnalité de la personne. C’est là aussi qu’on en apprend plus sur Lucia, elle s’attarde énormément sur les apparences, tandis que le monde n’est pas que fait d’apparence. L’histoire d’amour passionnelle qu’elle a dans le roman n’a pas été le point qui m’a le plus plu dans le livre, ce qui était vraiment beau et touchant étaient la passion de Lucia pour la mode et les liens forts qu’elle a dans sa famille.

Conclusion :

Je suis conquise par l’écriture d’Adriana Trigiani, et cette histoire flottera encore longtemps dans un coin de mon esprit. Je te recommande chaudement, ô lecteur, de le lire. Tu auras envie de manger de l’authentique nourriture italienne, respirer le parfum du basilic frais et porter ta plus belle robe ou ton plus beau costume ( si tu es un monsieur ). Lucia, Lucia donne envie d’observer la beauté du monde et de se battre pour ses rêves. Ce n’est pas une banale romance, mais un hymne à l’indépendance des femmes.

Lucia, Lucia d’Adriana Trigiani

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⭐ Lucia, Lucia d’Adriana Trigiani

Lucia, Lucia d’Adriana TrigianiNombre de pages : 304 pages
Editeur : CHARLESTON EDITIONS
Date de sortie : 7 juin 2017
Collection : Littérature générale
Langue : Français
ISBN-10 : 2368121250
ISBN-13 : 978-2368121252
Prix : 21€
Disponible sur liseuse : OUI

Son résumé :

New York, 1950. À vingt-cinq ans, Lucia Sartori est certainement la plus jolie fille du quartier. L’après-guerre a ouvert de nombreuses possibilités aux jeunes femmes ambitieuses, et Lucia vient de commencer comme apprentie couturière au très chic grand magasin B. Altman sur la 5e Avenue. Son père, qui a brillamment réussi dans les affaires et tient l’épicerie fine italienne la plus réputée, l’a toujours encouragée dans ses ambitions, mais les traditions sont tenaces…

Fiancée à son amour d’enfant, l’inébranlable Dante DeMartino, Lucia est déchirée lorsqu’elle rencontre un bel inconnu qui lui promet une vie de luxe dans les beaux quartiers, une vie comme elle n’en lit que dans les magazines. Forcée de choisir entre sa famille et ses rêves, Lucia se retrouve au centre d’un scandale qui révélera des secrets enfouis. L’honneur des Sartori est en jeu…

⭐ Mon avis :

Lucia, lucia, les mots me manquent pour dire à quel point j’ai été bercée par la plume onctueuse d’Adriana Trigiani.


Lucia Sartori est la plus jolie fille de Greenwich village, fiancée à Dante, le fils du boulanger, elle est promise à un avenir confortable à little italy. Mais Lucia n’est pas qu’un beau visage, elle a des doigts de fée et travaille dans le meilleur atelier de Haute couture de New York. Passionnée de mode, elle rêve d’une vie dorée où elle pourrait restée une femme indépendante. Cependant, dans les années 50 les femmes finissent par se marier, arrêtent de travailler quand elles ont leur premier enfant. A vingt-cinq ans, c’est bientôt le tour de Lucia d’épouser son fils de boulanger d’origine italienne. Arrêter de travailler ? Impossible pour l’indépendante Lucia ! Prise en tenaille entre deux mondes différents, elle rencontre un homme mystérieux et ensorcelant et sera confrontée à la tentation d’une existence qu’elle a toujours rêvée.

Little italy

Dès que j’ai commencé le roman, j’ai été plongée dans la vie de Lucia, avec ses frère tous aussi attachant les uns que les autres, ses parents adorable et traditionnels. L’écriture de l’auteure permet de voir les description avec une acuité époustouflante. J’ai même pleuré en lisant certains passages, tant je m’étais attachée aux personnages et que leurs peines, leurs joies devenaient un peu les miennes. Delmarr, le talentueux couturier, ses amies Ruth, Violet et Helen et le beau John Talbot, pendant ces quelques jours de lecture, j’avais l’impression que ma vie se dédoublait. J’ai lu d’une traite la fin du roman sur la pelouse de ma fac, et j’ai même attrapé des coups de soleil tellement j’étais captivée par ma lecture.

La révolte de Lucia

Lucia est une jeune femme attachante, elle veut pouvoir vivre de sa passion comment elle l’entend et tout au long du roman je me disais qu’elle était née dans la mauvaise époque. Le poids des traditions est si fort dans l’immigration italienne à cette période, heureusement pour Lucia ses parents sont des gens certes traditionnels, mais pas injustes et son père la pousse à être indépendante. Malgré cela,  Elle est seule face au choix cornélien entre penser à elle ou à sa famille. Et je la comprends, il y a un tel amour dans cette famille de l’immigration italienne, ils sont si soudés. Adriana Trigiani a le don de pouvoir décrire l’amour entre les êtres. Et puis, il y avait tout ces petits détails qui faisaient la richesse du roman comme les recettes de cuisines éparpillées pour notre plus grand plaisir :

Les truffes express de Rosemary Sartori

50 cl de glace à la vanille ( ramollie )

12 cerises au marasquin

3 sachets de noix de coco en poudre

2dl de crème épaisse

Pour le chocolat :

500 g de chocolat noir

Mélanger la noix de coco et la crème. Laisser reposer.

Rouler des boules de glace de la taille de balles de baseball. Y enfoncer les cerises au marasquin au centre. Asperger de sauce au chocolat et rouler dans la noix de coco jusqu’à ce que les boules en soient recouvertes. Poser sur une feuille de papier glacé et mettre au congélateur.

Lucia ou la passion de la couture

C’était un bonheur de lire les descriptions de vêtements, et j’ai été enchantée de m’imaginer les merveilleuses robes que Lucia et ses collègues faisaient. A chaque fois que quelqu’un entrait en scène, Lucia faisait la description de ses vêtements comme si la manière de s’habiller faisait partie intégrante de la personnalité de la personne. C’est là aussi qu’on en apprend plus sur Lucia, elle s’attarde énormément sur les apparences, tandis que le monde n’est pas que fait d’apparence. L’histoire d’amour passionnelle qu’elle a dans le roman n’a pas été le point qui m’a le plus plu dans le livre, ce qui était vraiment beau et touchant étaient la passion de Lucia pour la mode et les liens forts qu’elle a dans sa famille.

Conclusion :

Je suis conquise par l’écriture d’Adriana Trigiani, et cette histoire flottera encore longtemps dans un coin de mon esprit. Je te recommande chaudement, ô lecteur, de le lire. Tu auras envie de manger de l’authentique nourriture italienne, respirer le parfum du basilic frais et porter ta plus belle robe ou ton plus beau costume ( si tu es un monsieur ). Lucia, Lucia donne envie d’observer la beauté du monde et de se battre pour ses rêves. Ce n’est pas une banale romance, mais un hymne à l’indépendance des femmes.

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