“Les volumes issus des résidus alimentaires sont réduits par cinq et nécessitent donc 5 fois moins de conteneurs, 5 fois moins de tournées de collecte tandis que leur transport génère 5 fois moins d’émissions de CO2”, résume Georges Couasné, président de Geb-Solutions. Doc GS.Réduisant de 80% les émissions de CO2 d'une poubelle de biodéchets pour une consommation électrique limitée, des déshydrateurs transforment in situ en amendement ou en fertilisant, les résidus de repas dans certains restaurants collectifs et hôpitaux... A l'heure où la réglementation demande de plus en plus aux établissements producteurs de ces biodéchets de les trier et de les valoriser, de telles machines devraient avoir de l'avenir, d'autant qu'elles restent relativement simples et qu'en bout de chaîne elles produisent un engrais organo-minéral pouvant participer à la reconstitution des sols. Le potentiel en France est estimé à environ 300 000 machines de ce type.Composter, c'est très bien pour un particulier, mais dans le cas d'un hôpital ou d'un réfectoire scolaire, c'est moins envisageable, pour une simple question de quantité de déchets produits. Sinon, cela nécessite beaucoup de transport, donc beaucoup de gaz à effet de serre. La solution ? Transformer in situ les déchets alimentaires, ce qui au passage éviterait les nuisances liées au stockage des poubelles tout en limitant les émissions de gaz à effet de serre qui leurs sont dues (décomposition, transport..). C’est ce que propose la société française Geb-Solutions, implantée en Haute-Savoie et en région parisienne, avec ses déshydrateurs qui produisent en plus un engrais organo-minéral.
Magazine Politique
Déshydrateur de déchets alimentaires: il produit de l’engrais en réduisant les émissions de CO2
Publié le 16 juillet 2015 par Blanchemanche
#déshydrateurs #CO2 #résidusalimentaires
“Les volumes issus des résidus alimentaires sont réduits par cinq et nécessitent donc 5 fois moins de conteneurs, 5 fois moins de tournées de collecte tandis que leur transport génère 5 fois moins d’émissions de CO2”, résume Georges Couasné, président de Geb-Solutions. Doc GS.Réduisant de 80% les émissions de CO2 d'une poubelle de biodéchets pour une consommation électrique limitée, des déshydrateurs transforment in situ en amendement ou en fertilisant, les résidus de repas dans certains restaurants collectifs et hôpitaux... A l'heure où la réglementation demande de plus en plus aux établissements producteurs de ces biodéchets de les trier et de les valoriser, de telles machines devraient avoir de l'avenir, d'autant qu'elles restent relativement simples et qu'en bout de chaîne elles produisent un engrais organo-minéral pouvant participer à la reconstitution des sols. Le potentiel en France est estimé à environ 300 000 machines de ce type.Composter, c'est très bien pour un particulier, mais dans le cas d'un hôpital ou d'un réfectoire scolaire, c'est moins envisageable, pour une simple question de quantité de déchets produits. Sinon, cela nécessite beaucoup de transport, donc beaucoup de gaz à effet de serre. La solution ? Transformer in situ les déchets alimentaires, ce qui au passage éviterait les nuisances liées au stockage des poubelles tout en limitant les émissions de gaz à effet de serre qui leurs sont dues (décomposition, transport..). C’est ce que propose la société française Geb-Solutions, implantée en Haute-Savoie et en région parisienne, avec ses déshydrateurs qui produisent en plus un engrais organo-minéral.
“Les volumes issus des résidus alimentaires sont réduits par cinq et nécessitent donc 5 fois moins de conteneurs, 5 fois moins de tournées de collecte tandis que leur transport génère 5 fois moins d’émissions de CO2”, résume Georges Couasné, président de Geb-Solutions. Doc GS.Réduisant de 80% les émissions de CO2 d'une poubelle de biodéchets pour une consommation électrique limitée, des déshydrateurs transforment in situ en amendement ou en fertilisant, les résidus de repas dans certains restaurants collectifs et hôpitaux... A l'heure où la réglementation demande de plus en plus aux établissements producteurs de ces biodéchets de les trier et de les valoriser, de telles machines devraient avoir de l'avenir, d'autant qu'elles restent relativement simples et qu'en bout de chaîne elles produisent un engrais organo-minéral pouvant participer à la reconstitution des sols. Le potentiel en France est estimé à environ 300 000 machines de ce type.Composter, c'est très bien pour un particulier, mais dans le cas d'un hôpital ou d'un réfectoire scolaire, c'est moins envisageable, pour une simple question de quantité de déchets produits. Sinon, cela nécessite beaucoup de transport, donc beaucoup de gaz à effet de serre. La solution ? Transformer in situ les déchets alimentaires, ce qui au passage éviterait les nuisances liées au stockage des poubelles tout en limitant les émissions de gaz à effet de serre qui leurs sont dues (décomposition, transport..). C’est ce que propose la société française Geb-Solutions, implantée en Haute-Savoie et en région parisienne, avec ses déshydrateurs qui produisent en plus un engrais organo-minéral.