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Kathryn Taylor

Publié le 03 mars 2015 par Ninie W. @ninie067

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Les couleurs du plaisir, tome 3 : Égarée

Picture Auteur : Kathryn Taylor
Serie : Les couleurs du plaisir
Genres :  Romance Erotique 
Editeur : Marabout
Collection : Red Velvet
Publication: 28/ 01/ 2015
Edition: Broché
Pages : 320
Rating:
  • Chroniqué par NINIE

- Lu en partenariat avec Marabout -

Photo Aller à Rome a toujours été le rêve de la jeune Sophie Conroy. Mais elle était loin d'imaginer ce que la Ville Eternelle lui réservait... Sa rencontre avec Matteo Bertani, séduisant et secret professeur d'art, la bouleverse et lui fait découvrir une nouvelle dimension du désir. Bientôt, Sophie va se perdre dans la tourmente de ses sentiments. Mais la passion, la distance, que Matteo met dans leur relation, lui fait pressentir quelque chose : son coeur serait-il déjà pris ? Photo Tout d'abord je tiens à remercier Emilie et Marabout pour m'avoir offert l'opportunité de lire ce livre en m'accordant leur confiance.
Quand j'ai commencé ma lecture, j'ai été surprise de ne pas avoir affaire avec Grace et Jonathan (les personnages des deux tomes précédents). Dans cette histoire, nous parlerons de Sophie et Matteo. Sur le coup, je me suis dis euh ... est-ce que j'ai la bonne suite ? Et effectivement il s'agit bien de la même série, mais avec l'apparition de nouveaux personnages, j'avoue avoir été un peu perdue au début, et j'ai donc reposé le livre à plusieurs reprises. Avant d'être complètement plongée dedans. Exit l'histoire que je pensais continuer avec la relation de Grace et Jonathan. Sophie débarque. Mais au fait, qui est Sophie ?
Je n'ai fait le rapprochement avec l'histoire précédente, que vers la moitié du livre, quand Sophie parle avec Sara (la soeur de Jonathan) une de ses amies. J'ai trouvé un peu dommage d'être perdue comme ça, mais c'est ma faute, je devrais lire les résumés, donc ça m'apprendra.
Sophie Conroy est anglaise, et pour son travail elle se rend en Italie, c'est donc là que va se dérouler toute l'histoire, à Rome. Et je peux vous dire que j'ai franchement adoré m'évader dans ce magnifique pays. L'histoire m'a quelque peu fait penser à la trilogie italienne que j'ai lu. J'ai aimé retrouvé la même ambiance qui tourne autour de l'art. 
Donc je disais que Sophie se rend à Rome pour se voir confier la vente aux enchères des biens de Giamoco Di Chessa, mais l'accord n'est pas encore signé, et ce qui aurait pu se révéler une très bonne affaire pour relancer l'hôtel de vente familial (le Conroy), deviendra une affaire délicate quand Matteo Bertani (ami et voisin de Giacomo), expert en oeuvre d'art, fera tout pour contester le départ de Giacomo de Rome.
Seulement ni Sophie, ni Matteo ne s'attendait à ce que leurs sexualités exacerbées ne s'en mêlent. Et je peux vous dire, que les premiers émois sont plus que passionnés. Seulement ça serait trop beau si tout se déroulait comme sur des roulettes, mais l'auteur a décidée de mettre son grain de sel dans l'histoire et l'excitation retombe comme un soufflé avec la fin de ce tome.
En bref, même si j'ai eu un peu de mal à mettre dans l'histoire, une fois que mon cerveau avait intégré le fait que Jonathan et Grace ne faisait qu'une petite apparition vidéo dans le roman, j'ai été complètement absorbée par le récit, et je l'ai même apprécié plus que les deux premiers tomes.
Maintenant il va falloir que je parte à la recherche d'infos concernant la sortie du tome suivant. Photo
Je planais littéralement. Il était urgent de mettre un terme à cet état, mais j’en étais incapable. Pour commencer, il fallait que mon cœur, qui battait à un rythme alarmant, retrouve son calme. Parce que, quelques secondes plus tôt, j’avais manqué me rompre le cou en tombant dans l’escalier.
Il aurait également été bon d’inspirer et d’expirer profondément. Mais ce n’était pas possible. Je ne savais même plus comment remplir mes poumons d’oxygène. En fait, je ne pouvais plus faire qu’une chose : fixer l’homme qui me considérait, sourcils froncés.
Le soleil couchant, entrant par la fenêtre, donnait à sa chevelure blond foncé des reflets dorés, en parfait accord avec ses yeux d’une teinte peu commune, ambrée et chaude. Quant à son visage… il était comme sculpté : pommettes hautes, nez droit, lèvres parfaitement ourlées. À l’image de ces statues d’homme en marbre si nombreuses ici, à Rome. Bon, d’accord, ses cheveux, qui lui retombaient sur le front, étaient peut-être un peu trop longs. Mais quand même… Dans la réalité, personne n’avait l’air aussi diablement séduisant. L’espace d’un instant, j’eus même peur d’être dans le coma après avoir bel et bien chuté.

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