Ce sont les intelligents mots prononcés par un "grand" garçon des Bruins de Boston à l'égard de 2 joueurs des Canadiens de Montréal lors de la poignée de main, alors que Montréal éliminait Boston proprement à domicile. Confirmant son statut de trou de cul mondial.
Les mêmes Bruins de Boston dont l'instructeur dit, sans rire, aux journalistes en conférence de presse, "Je ne comprends pas pourquoi ce sont nous que vous dépeignez sans cesse comme les méchants dans cette rivalité" (Lune!).
La petitesse de ce joueur est assez remarquable. En tant qu'homme, je veux dire. Leçon d'intimidation #8, lorsque vous intimidez, assurez vous que votre victime soit convaincue que c'est elle qui l'a cherché. Le "grand" garçon des Bruins de Boston en a remis en prétextant que "ce qui se dit sur la glace, reste sur la glace et que si les joueurs des Canadiens veulent jouer au bébé qu'il le fasse". Cet acte criminel, une menace de mort, est donc tout ce qu'il y a de plus anodin pour une équipe qui ne connaît RIEN de la justice puisqu'ils se sont convaincus de leurs propres menteries à maintes reprises. Ils ont aussi passé un immense sapin à la Ligue Nationale en 2011, un sapin de 6 pieds 9, 7 pieds 6 de large lorsque la tige est étendue, quand ils leur ont fait croire que ce n'était pas dans les gênes des ogres d'arracher la tête des joueurs du canadiens.
"je vais te tuer l'an prochain, sois prêt"
On fait quoi à partir de maintenant? On attend la mort? On attend l'agression qui compromettra la carrière à jamais?
"Do it to the other guy first, 'cause if you don't, he'll do it to you" fait dire Woody Allen à son personnage de Tina Vitale dans Broadway Danny Rose, Tina, personnage expliquant sa philosophie de vie de veuve de mafieux.
Est-ce que Dale Weise et Alexei Emelin des Canadiens devraient attendre pour voir à quelle heure arrive "l'an prochain"? Si j'étais eux, je réagirais ne premier. Je n'attendrais pas la mort.
Je vais vous faire une confession. Il y a un peu plus d'un an, j'ai moi aussi été victime de menace de la part d'une personnalité dont je causais ici. Il m'a promis de me retracer et de me régler mon compte. Je n'en ai pas fait de nuit blanche. J'avais non seulement des preuves de ses menaces, mais aussi son adresse car il ne soupçonne en rien que je le connais beaucoup plus qu'il ne le croit. J'ai flirté avec l'idée d'amener ça à la police, mais le gars me faisait un peu pitié. Plus je relisais son message haineux, plus je constatais à quel point il confirmait par mille sa petitesse. Mon avocat m'a confirmé que si il jouait les pièces qu'il menaçait de faire avancer sur son échiquier, il était nettement grillé. Valait mieux, tourner sagement la page. Je n'ai finalement rien fait.
Toutefois, nous étions en hiver et je ne travaillais pas encore de nuit, j'ai découvert au petit matin, après une neige tombée dans la nuit, des traces de pas de la rue menant à ma porte. C'était à peu près 10 jours après la missive juvénile. Je me suis posé quelques questions...Jusqu'à ce que je découvre un pamphlet au bas des marches pour offrir ses services comme déneigeur. L'homme/la femme effectuait sa propre publicité en livraison dans les boîte à malle, de nuit. Mais avant de découvrir le pamphlet tout seul dans ma boîte aux lettres, le hamster courait. J'ai regardé au-dessus de mon épaule pendant au moins une heure. Les yeux toujours dans le rétroviseur.
On sait tous ce que voulait dire le "très" petit joueurs des Bruins. Mais il a utiliser le verbe tuer. On sait que ce club peut s'essayer à le faire. Ils l'on prouvé maintes fois. Ce sont des perdants maintenant chevronnés.
Mais la Ligue fera-t-elle quelque chose?
Faire le signe avec sa main voulant dire "je vais te couper la gorge" vaut une amende automatique et une possible suspension si les gestes suivent la menace. La menace est bien réelle. Le gros pas beau l'a rendue claire et l'a placé sommairement dans le temps. Au minimum à 8 dates précises entre septembre 2014 et avril 2015. Jours des morts potentiels des # 22 et #74 des canadiens. Le premier, coupable d'avoir répondu coup pour coup à l'adversaire qui narguait. Le second, pour faire tout simplement son travail efficacement et PIRE, proprement. En jouant au hockey.
Si j'étais préfêt de discipline, le minus des Bruins écoperait d'un minimum de 20 matchs pour l'an prochain. Le camps d'entraînement + 20 matchs. Tu veux tuer? L'automne est la saison de la chasse, va tuer du gibier. Mais au hockey, on compte des buts, on ne compte pas les morts.
Il y a un trait de caractère commun chez les fans des Bruins de Boston francophones du Québec. Ils sont moins fans des Bruins qu'ils sont "haters" des Canadiens. De l'amour, parfois aveugle, envers le club. De la surexposition du club dans les médias. Ce sont des ABC comme dirait mon fils. Anything But Canadiens.
Et parmi eux se trouvent des gens qui, sincèrement, ce sont intéressés au club, JUSTEMENT, parce que sont des rats. De vils personnages, affreusement laids. Qui traversent la ligue en effrontés en promettant en tout temps et de toutes les manières possible de vous intimider.
Un exemple ignoble pour notre jeunesse. Son contraire en fait..
Le #17, #63, le #33 surtout, capitaine et mentor de ce groupe de fêlés. Le #22 aussi. Ruinent ce qui pourrait être un sacré beau club. De quoi vraiment aimer. Le #22 au moins, se sait malade. Il limite toujours ses entrevues hors glace et se contente de s'excuser (de s'être fait prendre) au micro. Quand on lui pose des questions sur son rôle de bagarreur (son premier atout), il refuse de dire quoi que ce soit. Il se sait malade. Et il a trouvé une niche parfaite et payante pour exorciser son mal-être.
Mal-être qui devrait rester dans le vestiaire des Bruins de Boston.
Et ne pas contaminer ceux qui sont meilleurs.
De plus en plus nombreux avec leurs comportements de perdants, malgré leur premier rang.
Perdre avec dignité est, et devrait toujours rester l'immense qualité des héros qui naissent dans les yeux de nos jeunes.
Alors pas besoin de l'intimidation au degré zéro.
Couché, Milan.
Et prends tes pilules contre la rage.
Enfin, sois un Homme, pas un gamin.