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Liste au père Noël Australien

Publié le 09 décembre 2012 par Elodieberlin

Noël approche, c’est le moment de faire votre liste de cadeaux au père Noël ! Si vous partez en Australie voici les 10 produits indispensables à vous offrir ou vous faire offrir pour votre voyage !

1. Lonely Planet Australie

Pour toutes les destinations en dehors de l’Europe, le Lonely Planet est mon guide de référence. A la différence de beaucoup d’autres livres de tourisme, il est écrit pas des personnes qui habitent dans le pays depuis plusieurs années. D’ailleurs l’Australie fut l’un des premiers pays couvert par les créateurs du Lonely Planet et le guide qui y est consacré reste une référence parmi les ouvrages touristiques sur l’Australie. Ce que j’apprécie particulièrement ce sont les propositions d’itinéraires pour chaque ville et la présentation de lieux peu connus et peu touristiques.

2. A la découverte de la culture aborigène

Voilà un livre qui m’a profondément marqué et qui m’a permis de découvrir la culture aborigène. Une culture particulièrement difficile à aborder car faite de rites secrets et symboliques auquel les non initiés n’ont pas accès. La vision de monde des Aborigènes est de toute façon tellement différente de la notre qu’elle est presque incompréhensible, même si ils nous la racontent. L’histoire vraie de cette Américaine choisie par les Aborigènes pour lui faire vivre leur vie et comprendre leur culture est une véritable aventure dans le bush australien. Marlo Morgan est presque kidnappée et entraînée dans un périple de plusieurs mois durant lesquels une tribu d’Aborigènes va l’initier dans le but qu’elle transmette leur message au Monde. A lire absolument pour mieux comprendre ce peuple et cette culture presque disparue.

3. Guide de conversation Australie

Parfois on écoute parler un Australien et on se dit qu’on à dû louper des étapes pendant nos cours d’anglais. Car outre l’accent spécifique auquel il faut s’habituer, les Australiens utilisent des mots et des expressions bien à eux « No worries » étant certainement leur phrase favorite. Pour apprendre le vocabulaire local, en apprendre plus sur la culture et passer pour un vrai Australien(ne) ce guide de conversation est indispensable !

4. Vegemite

La spécialité Australienne ! On ne peut en manger qu’à condition d’y avoir été habitué dès le plus jeune âge. Et si ce n’est pas votre cas, il va falloir s’y mettre. Essayez en appliquant une fiche couche de vegemite sur une tartine beurrée. C’est aussi une très bonne idée cadeau à offrir à quelqu’un que vous n’aimez pas. Dites-lui que c’est comme du Nutella et invitez-le à tester devant vous. Vous n’avez plus qu’à observer sa tête !

5. Coussin de voyage

Nos kilomètres et nos heures de bus, on ne les compte pas. On y a aussi passé quelques nuits. Et elles n’auraient pas été si agréables sans ce petit coussin gonflable que ma mère m’avait offert. Une fois dégonflé il ne prend pas de place et ce n’est pas lourd à porter. Il fat juste ne pas oublier de presser la valve quand on souffle sinon ça ne fonctionne pas. C’est aussi utile pour éviter de poser sa tête contre la vitre dégoûtante, ménager ses fesses sur une route bossue, dans un hamac, sur le banc d’un bateau, dans les fauteuils d’un aéroport…

6. Gourde Katadyn

Bien que les risques de contamination de l’eau soient plus faibles que dans d’autres régions du monde il est parfois difficile de se procurer de l’eau potable en Australie. Notre consommation atteignait des sommets quand nous gravissions les cimes des montagnes chargées de plusieurs bouteilles d’eau. Et même avec ces provisions, parfois on se retrouvait à cours d’eau. Ce qui est très dangereux dans beaucoup de coins australiens où la chaleur est écrasante. De même les campements où nous avons séjournés étaient parfois démunis d’infrastructures, notamment au niveau de l’approvisionnement en eau. Dans tous ces cas nous aurions été bien contentes d’avoir une gourde filtrante que l’on peut remplir avec n’importe quelle eau. J’ai découvert cette invention plus tard et elle m’a été bien utile, notamment en Amérique Latine (j’ai aussi fais quelques économies dans l’achat de bouteilles d’eau !).

7. Chapeau moustiquaire

On avait décidé de ne pas en acheter car on avait peur du ridicule. Pourtant on avait certainement l’air plus bête à chasser les grosses mouches de notre visage en battant des mains qu’avec cet accessoire d’aventurier sur la tête. J’en ai fait l’expérience plus tard, quand, dans un environnement aussi inhospitalier que le désert australien, j’ai enfin pu prendre des photos, mes mains n’étant plus occupées à chasser les escadrons de mouches. C’est aussi très utile contre les moustiques et ça fait son petit effet sur les autres voyageurs qui sont un peu jaloux de votre précieuse possession.

8. Sac randonnée

J’ai voyagé avec mon vieux sac de la marque Décathlon (si vieux que quand mes parents me l’ont acheté la marque Quecha n’existait pas encore). Même si j’avais beaucoup d’affection pour lui je dois dire que j’étais un peu jalouse du sac à dos d’Orianne : léger, pratique, avec plein de poches, une grande contenance mais léger et adapté à ses petites épaules de femme. Quand mon sac de 15 ans rendit l’âme, je me suis donc procurée le modèle équivalent pour le plus grand bonheur de mon dos !

9. Chaussures de marche

Lors de mon voyage en Australie je savais que j’allais faire plusieurs randonnées. Mais je n’avais pas envie de porter des tennis et de lourdes chaussures de marche. J’ai été donc été ravie de découvrir des modèles à mi-chemin entre des chaussures de randonnée et les basquettes. Elles offrent beaucoup de confort quelque soit la surface du sol (roches, sable, cailloux, chemin glissant…) tout en restant légères et esthétiques.

10. Aspi venin

L’Australie étant le pays où se regroupent les serpents les plus dangereux de la planète, mon entourage ne m’a pas laissé partir sans aspi venin. De fait j’ai rencontré quelques specimens, au sol mais aussi dans les arbres. J’étais prête à dégainer à tout moment l’embout ventouse qui aspire le venin en quelques secondes. Je n’ai pas eu l’occasion de m’en servir lors de ce voyage, mais lors d’un autre trip où j’ai été piqué par une étrange bébête volante et surdimensionnée. Le dard était resté planté dans mon bras et j’ai pu le retirer grâce à l’aspi venin


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