Top 10 des meilleures comédies horrifiques

Les comédies horrifiques, au sein de la rédac’, on adore ça. Le mélange de deux genres aussi marqués que l’horreur et la comédie constitue, il faut bien l’admettre, l’un de nos petits plaisirs coupables. Il était donc grand temps de vous livrer le classement de nos 10 comédies horrifiques préférées ! On va être honnêtes : on a bien galéré à en retenir seulement 10, voici donc la "crème de la crème" du genre…

#10 – Black Sheep (Jonathan King, 2006)

Bon, OK, Black Sheep ne fait objectivement pas partie des 10 meilleures comédies horrifiques de tous les temps… Et pourtant, nous éprouvons une tendresse toute particulière pour ce film, que nous avions vu dans des circonstances surréalistes au cinéma, avec déformation d’écran sur les 10 premières minutes et groupe du 3ème âge juste derrière nous. Mémorable ! Et puis, des moutons mutants, sérieux…

Le truc qui fait la différence : le personnage de Tucker, tellement con que son nom est rapidement devenu le pseudo d’un des co-fondateurs du blog !

#9 – Tremors (Ron Underwood, 1989)

Au même titre que Black Sheep, Tremors fait partie de ces films qui ne sont pas inoubliables mais pour lesquels notre petit cœur d’Ingoruptibles n’aura de cesse de battre. Un buddy movie comme on les aime, avec deux héros bien bouffons et des gros monstres sacrément baveux.

Le truc qui fait la différence : la coupe de cheveux de Kevin Bacon.

#8 – Evil Dead 3 - L'Armée des ténèbres (Sam Raimi, 1992)

Ce troisième volet de la saga Evil Dead est certainement le plus léger et le plus familial, avec un humour "grand public" qui fonctionne à merveille et une approche moins horrifique que dans les deux premiers épisodes. Bruce Campbell campe un Ash toujours aussi déjanté, dans une aventure épique qui vaut le détour !

Le truc qui fait la différence : « Chez PRIXBAS, les prix sont bas ! »

#7 – Dellamorte Dellamore (Michele Soavi, 1994)

Tour à tour poétique, fantastique, bouffon, drôle, touchant… Dellamorte Dellamore ne pouvait pas échapper à une place d’honneur au sein de ce classement. Une œuvre fascinante dans laquelle on retrouve un Rupert Everett tout aussi classe que désopilant. Une petite perle.

Le truc qui fait la différence : une scène cul(te) avec la belle Anna Falchi…

#6 – Frankenstein Junior (Mel Brooks, 1974)

Un grand classique du genre, qui parodie d’ailleurs les non moins classiques Frankenstein (1931) et La Fiancée de Frankenstein (1935). Parodie qui fait quasiment figure d’hommage, tant les œuvres originales sont respectées par Mel Brooks. Et en plus, c’est très drôle et totalement délirant…

Le truc qui fait la différence : l’apparition désopilante de Gene Hackman en vieux prêtre aveugle succombant aux charmes de la créature…et son corps de rêve. Irrévérencieux, certes… Irrésistible, assurément !

Et les 5 premiers du classement alors ? On vous donne rendez-vous mardi 8 janvier pour connaître le Top 5 !