Un "Raid aérien"
Et un
tas de cailloux.....
Raid. Ce jeune garçon est un rescapé. Il court sur les décombres des bâtiments détruits suite à un raid aérien contre la ville de Maaret al-Noomane, dans le nord-ouest de la Syrie, ce jeudi. Des chasseurs-bombardiers de l'aviation syrienne, avaient survolé la ville rebelle et sa région pendant toute la matinée, faisant de brefs piqués à basse altitude pour larguer une dizaine de bombes, detruisant totalement ou partiellement deux immeubles et une mosquée où se trouvaient de nombreux civils, femmes et enfants. Au moins 44 personnes ont été tuées et 30 autres sont portées disparues. Maaret al-Noomane est ville stratégique car située sur la route reliant Damas à Alep, et a été prise il y a près de deux semaines par les insurgés." title="Tout compte fait, il pleut sur Nantes et je m'en contente..." />Raid. Ce jeune garçon est un rescapé. Il court sur les décombres des bâtiments détruits suite à un raid aérien contre la ville de Maaret al-Noomane, dans le nord-ouest de la Syrie, ce jeudi. Des chasseurs-bombardiers de l'aviation syrienne, avaient survolé la ville rebelle et sa région pendant toute la matinée, faisant de brefs piqués à basse altitude pour larguer une dizaine de bombes, detruisant totalement ou partiellement deux immeubles et une mosquée où se trouvaient de nombreux civils, femmes et enfants. Au moins 44 personnes ont été tuées et 30 autres sont portées disparues. Maaret al-Noomane est ville stratégique car située sur la route reliant Damas à Alep, et a été prise il y a près de deux semaines par les insurgés." border="0" />
Ce jeune garçon est un rescapé. Il court sur les décombres des bâtiments détruits suite à un raid aérien contre la ville de Maaret al-Noomane,
dans le nord-ouest de la Syrie, ce jeudi. Des chasseurs-bombardiers de l'aviation syrienne, avaient survolé la ville rebelle et sa région pendant toute la matinée, faisant de brefs piqués à
basse altitude pour larguer une dizaine de bombes, detruisant totalement ou partiellement deux immeubles et une mosquée où se trouvaient de nombreux civils, femmes et enfants. Au moins 44
personnes ont été tuées et 30 autres sont portées disparues. Maaret al-Noomane est ville stratégique car située sur la route reliant Damas à Alep, et a été prise il y a près de deux semaines
par les insurgés. Crédits photo : BULENT KILIC/AFP
Manifestation en Grèce, le nombre en devient incalculable...
Et le feu enflamme une nouvelle fois la
rue!
Dans la rue. La Grèce est de nouveau paralysée. Pour la 4ème fois cette année, les syndicats ont appelé à la grève générale pour protester contre l'austérité imposée, le jour où se réunissent à Bruxelles les dirigeants européens, membres de la troika (comprenant Union européenne, Banque centrale européenne et Fonds monétaire international) des bailleurs de fonds de la Grèce. Des manifestants ont commencé à défiler sur la place Syntagma, en face du Parlement, alors que les services publics et les transports étaient fortement perturbés. Des centaines de jeunes grecs ont attaqué la police à l'aide de boules imbibées d'essence, de bouteilles et de morceaux de marbre. La Grèce, qui traverse sa cinquième année de récession consécutive, a demandé deux ans supplémentaires à ses partenaires pour mener à bien les réformes et réduire ses déficits." title="Tout compte fait, il pleut sur Nantes et je m'en contente..." />Dans la rue. La Grèce est de nouveau paralysée. Pour la 4ème fois cette année, les syndicats ont appelé à la grève générale pour protester contre l'austérité imposée, le jour où se réunissent à Bruxelles les dirigeants européens, membres de la troika (comprenant Union européenne, Banque centrale européenne et Fonds monétaire international) des bailleurs de fonds de la Grèce. Des manifestants ont commencé à défiler sur la place Syntagma, en face du Parlement, alors que les services publics et les transports étaient fortement perturbés. Des centaines de jeunes grecs ont attaqué la police à l'aide de boules imbibées d'essence, de bouteilles et de morceaux de marbre. La Grèce, qui traverse sa cinquième année de récession consécutive, a demandé deux ans supplémentaires à ses partenaires pour mener à bien les réformes et réduire ses déficits." border="0" />
La Grèce est de nouveau paralysée. Pour la 4ème fois cette année, les syndicats ont appelé à la grève générale pour protester contre
l'austérité imposée, le jour où se réunissent à Bruxelles les dirigeants européens, membres de la troika (comprenant Union européenne, Banque centrale européenne et Fonds monétaire
international) des bailleurs de fonds de la Grèce. Des manifestants ont commencé à défiler sur la place Syntagma, en face du Parlement, alors que les services publics et les transports
étaient fortement perturbés. Des centaines de jeunes grecs ont attaqué la police à l'aide de boules imbibées d'essence, de bouteilles et de morceaux de marbre. La Grèce, qui traverse sa
cinquième année de récession consécutive, a demandé deux ans supplémentaires à ses partenaires pour mener à bien les réformes et réduire ses déficits. Crédits photo :
COSTAS BALTAS/REUTERS
L'Indonésie: le travail à bas coût remis en question!
Un réveil dans la douleur pour les malheureux
salariés...
En colère. A Tangerang, la banlieue industrielle de la capitale indonésienne, on licencie à tour de bras. Ce jeudi, plus de 1300 salariés de l'usine Panarub Dwikarya, près de Jakarta, qui fabrique des chaussures pour Adidas, ont violemment protesté contre leur licenciement. Les anciens employés réclament d'être réintégrés, dénonçant leur licenciement, intervenu en juillet, juste après avoir fait une grève pour réclamer l'alignement de leur paie sur l'augmentation légale du salaire minimum. L'industrie du sport a montré ces derniers mois et en particulier en Indonésie, une réelle volonté d'enfin respecter les droits des travailleurs. Mais ces derniers ne sont pas au bout de leurs efforts: de graves violations de leurs droits se perpétuent encore de manière systémique." title="Tout compte fait, il pleut sur Nantes et je m'en contente..." />En colère. A Tangerang, la banlieue industrielle de la capitale indonésienne, on licencie à tour de bras. Ce jeudi, plus de 1300 salariés de l'usine Panarub Dwikarya, près de Jakarta, qui fabrique des chaussures pour Adidas, ont violemment protesté contre leur licenciement. Les anciens employés réclament d'être réintégrés, dénonçant leur licenciement, intervenu en juillet, juste après avoir fait une grève pour réclamer l'alignement de leur paie sur l'augmentation légale du salaire minimum. L'industrie du sport a montré ces derniers mois et en particulier en Indonésie, une réelle volonté d'enfin respecter les droits des travailleurs. Mais ces derniers ne sont pas au bout de leurs efforts: de graves violations de leurs droits se perpétuent encore de manière systémique." border="0" />
A Tangerang, la banlieue industrielle de la capitale indonésienne, on licencie à tour de bras. Ce jeudi, plus de 1300 salariés de l'usine
Panarub Dwikarya, près de Jakarta, qui fabrique des chaussures pour Adidas, ont violemment protesté contre leur licenciement. Les anciens employés réclament d'être réintégrés, dénonçant
leur licenciement, intervenu en juillet, juste après avoir fait une grève pour réclamer l'alignement de leur paie sur l'augmentation légale du salaire minimum. L'industrie du sport a
montré ces derniers mois et en particulier en Indonésie, une réelle volonté d'enfin respecter les droits des travailleurs. Mais ces derniers ne sont pas au bout de leurs efforts: de
graves violations de leurs droits se perpétuent encore de manière systémique. Crédits photo : BIMA SAKTI/AFP
De l'eau et du sable pour ce hâvre de paix, de sérénité et toutes ces merveilleuses découvertes.
Mais combien de temps sera t-il encore préservé ?
Espérons que des fanatiques religieux ne s'attaqueront pas à ce site comme à Tombouctou!
D'eau et de sable.Comme chaque semaine ou presque, des centaines de touristes se sont pressés autour du célèbre lac du Croissant de lune, près de la ville chinoise de Dunhuang, au nord ouest de la province du Gansu. Surplombé par les dunes de Mingsha, le petit lac est devenu une attraction très populaire. Ancienne étape de la route de la soie, Dunhuang abrite encore de nombreux trésors, à l'image des grottes de Mogao où ont été découverts de magnifiques peintures murales, de très nombreuses statues, dont unbouddha de 35mètres de haut, et de précieux manuscrits anciens. Rassemblés et étudiés par le linguiste français Paul Pelliot, un grand nombre d'objets trouvés dans les grottes sont aujourd'hui conservés au musée Guimet, à Paris." title="Tout compte fait, il pleut sur Nantes et je m'en contente..." />D'eau et de sable.Comme chaque semaine ou presque, des centaines de touristes se sont pressés autour du célèbre lac du Croissant de lune, près de la ville chinoise de Dunhuang, au nord ouest de la province du Gansu. Surplombé par les dunes de Mingsha, le petit lac est devenu une attraction très populaire. Ancienne étape de la route de la soie, Dunhuang abrite encore de nombreux trésors, à l'image des grottes de Mogao où ont été découverts de magnifiques peintures murales, de très nombreuses statues, dont unbouddha de 35mètres de haut, et de précieux manuscrits anciens. Rassemblés et étudiés par le linguiste français Paul Pelliot, un grand nombre d'objets trouvés dans les grottes sont aujourd'hui conservés au musée Guimet, à Paris." border="0" />
Comme chaque semaine ou presque, des centaines de touristes se sont pressés autour du célèbre lac du Croissant de lune, près de la
ville chinoise de Dunhuang, au nord ouest de la province du Gansu. Surplombé par les dunes de Mingsha, le petit lac est devenu une attraction très populaire. Ancienne étape de la
route de la soie, Dunhuang abrite encore de nombreux trésors, à l'image des grottes de Mogao où ont été découverts de magnifiques peintures murales, de très nombreuses statues, dont
unbouddha de 35mètres de haut, et de précieux manuscrits anciens. Rassemblés et étudiés par le linguiste français Paul Pelliot, un grand nombre d'objets trouvés dans les grottes
sont aujourd'hui conservés au musée Guimet, à Paris. Crédits photo : Xinhua/ZUMA/REA/©Xinhua/ZUMA/REA
Purée Gilbert!
Je t'avais dit: vire pas à tribord y'a toutes les réserves de bières de ce côté là!
Bein oui, enfin Gilbert....
Spectaculaire. L'AC72 du defender de la 34eCoupe de l'America, «Oracle Team USA», a chaviré mardi au pied du Golden Gate Bridge dans la baie de San Francisco, au cours d'une sortie d'entraînement. L'équipage du grand multicoque est indemne mais le bateau est très endommagé. A moins d'un an de la prochaine Coupe de l'America (septembre 2013), le coup est très dur pour l'équipe américaine, qui avait déjà connu une avarie sérieuse lors de la toute première sortie du catamaran. Les conditions étaient musclées (25 noeuds) avec des rafales formant un fort clapot à cause d'un coefficient de marée très important. Tandis que l'équipage manoeuvrait le catamaran au vent arrière, l'avant du bateau a plongé pour ensuite se retourner. «Nous avons fait quelque chose que nous espérions ne jamais connaître, chavirer sur un AC72, a commenté le skipper australien d'Oracle, James Spithill. Le plus important est que l'équipage soit en sécurité et qu'on ne déplore aucun blessé. Le plus important maintenant est de remettre le bateau à l'eau.»" title="Tout compte fait, il pleut sur Nantes et je m'en contente..." />Spectaculaire. L'AC72 du defender de la 34eCoupe de l'America, «Oracle Team USA», a chaviré mardi au pied du Golden Gate Bridge dans la baie de San Francisco, au cours d'une sortie d'entraînement. L'équipage du grand multicoque est indemne mais le bateau est très endommagé. A moins d'un an de la prochaine Coupe de l'America (septembre 2013), le coup est très dur pour l'équipe américaine, qui avait déjà connu une avarie sérieuse lors de la toute première sortie du catamaran. Les conditions étaient musclées (25 noeuds) avec des rafales formant un fort clapot à cause d'un coefficient de marée très important. Tandis que l'équipage manoeuvrait le catamaran au vent arrière, l'avant du bateau a plongé pour ensuite se retourner. «Nous avons fait quelque chose que nous espérions ne jamais connaître, chavirer sur un AC72, a commenté le skipper australien d'Oracle, James Spithill. Le plus important est que l'équipage soit en sécurité et qu'on ne déplore aucun blessé. Le plus important maintenant est de remettre le bateau à l'eau.»" border="0" />
L'AC72 du defender de la 34eCoupe de l'America, «Oracle Team USA», a chaviré mardi au pied du Golden Gate Bridge dans la
baie de San Francisco, au cours d'une sortie d'entraînement. L'équipage du grand multicoque est indemne mais le bateau est très endommagé. A moins d'un an de la prochaine Coupe
de l'America (septembre 2013), le coup est très dur pour l'équipe américaine, qui avait déjà connu une avarie sérieuse lors de la toute première sortie du catamaran. Les
conditions étaient musclées (25 noeuds) avec des rafales formant un fort clapot à cause d'un coefficient de marée très important. Tandis que l'équipage manoeuvrait le catamaran
au vent arrière, l'avant du bateau a plongé pour ensuite se retourner. «Nous avons fait quelque chose que nous espérions ne jamais connaître, chavirer sur un AC72, a commenté le
skipper australien d'Oracle, James Spithill. Le plus important est que l'équipage soit en sécurité et qu'on ne déplore aucun blessé. Le plus important maintenant est de remettre
le bateau à l'eau.» Crédits photo : Guilain Grenier/AP/SIPA/Guilain Grenier/AP/SIPA